Investisseurs, Ligue nationale, télévision: Legault s’affaire pour les Nordiques

Investisseurs, Ligue nationale et télévision: le gouvernement met des engrenages en branle pour un possible retour des Nordiques, a indiqué vendredi le premier ministre François Legault en conférence de presse à Québec.

C’est le ministre des Finances, Eric Girard, qui est responsable du dossier.

«Eric a eu des discussions avec les différents investisseurs potentiels du club», a annoncé M. Legault, ajoutant que son ministre compte rencontrer le commissaire de la Ligue nationale de hockey (LNH), Gary Bettman, «en janvier».

M. Legault avait déjà révélé jeudi qu’il avait eu une première conversation avec M. Bettman, et que son gouvernement comptait le rencontrer prochainement.

Le grand retour des Nordiques dans la capitale nationale demeure toutefois un dossier complexe.

M. Legault a rappelé que Québecor et son chef de la direction Pierre Karl Péladeau disposent d’un «droit de premier refus» concernant l’utilisation de l’amphithéâtre de Québec. «Il faut voir si M. Péladeau est toujours intéressé à débourser 700 millions $ ou plus pour une équipe de hockey», a précisé le premier ministre lors d’un point de presse en compagnie du nouveau maire de Québec, Bruno Marchand.

Dans le cas contraire, il faudra «voir comment on gère ça avec la Ville de Québec pour avoir l’amphithéâtre».

Il a aussi cité les droits de télédiffusion comme un enjeu important à démêler. «Actuellement, il y a deux compétiteurs, RDS qui est avec Bell et TVA Sports qui est avec le groupe Québecor», a-t-il expliqué.

«C’est tout ça que le gouvernement et Eric Girard essaient de mettre ensemble pour faire profiter les gens de Québec et les gens de l’est du Québec.»

M. Legault avait annoncé jeudi qu’il mettait en place un comité sur la relance du hockey, chargé de présenter des recommandations pour encourager les jeunes à adopter le sport et à y persévérer, ainsi que pour assainir les pratiques du milieu.

Le comité sera présidé par l’ancien gardien de but dans la LNH Marc Denis.

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Cet article a été produit avec le soutien financier des Bourses Facebook et La Presse Canadienne pour les nouvelles.

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Là où le… bas blesse. Où éclate, encore, la plus grande petitesse de ce gouvernement, de ce premier ministre.

Ce n’est pas toujours plus haut avec eux. Non, toujours plus creux.
Point d’évolution vers le haut, de transcendance en élévation.
Ne pas se limiter à foncer en murs mais s’enfoncer aussi.

Historique de ce gouvernement ? De la Fée des dents aux Nordiques.

Voilà bien, oui, quelqu’un d’aussi peu inspiré qu’inspirant.
Aussi résolument qu’ôpiniâtrement inintéressé au meilleur possible.
Prendre avis d’études ou d’experts? Vous n’y pensez pas! Voyons donc!
Nul besoin de ça. Nuisance, ces gens. Interroger faisabilité géologique de la chose au moins? Pas davantage. On creusera, comme les Dalton. Après, on verra bien si ç’avait d’l’allure ou pas de s’aventurer là-d’dans comme ça.

La devise de ces gens n’est-elle pas d’ailleurs depuis le début : « On verra » ?

Ah bon, là, avec ça, comprendrait-on, enfin, pourquoi y aurait-il nécessité, absolue, incontournable, d’un troisième lien. C’est que le marché (populationnel) Québec, actuel, étant considéré trop petit pour pouvoir y accueillir un club de la LNH; avec un troisième lien, ultra-rapide, de rive-sud vers Québec, y attirerait-on, croit-on, des dizaines, voire des centaines peut-être même de milliers de personnes de plus. Et ainsi, croit-on, alors, là l’aurait-on le « marché » suffisant pour justifier l’incontestable faisabilité plus que souhaitable d’un retour Nordiques au bercail (pour le plus grand bonheur ou honneur de l’ensemble des Québécois). Si bien qu’…

… ainsi le chat viendrait-il de sortir du sac. C’est-à-dire du ce pourquoi l’irrationnel, indéfendable, troisième lien tient tant à ce PM, amuseur de peuple. Le danger et le jeu seraient les deux principaux désirs de l’homme, selon un éminent philosophe de fin du XIXe siècle? En voilà là – un – jeu Q, l’hockey. Devant lequel tout (plus) sérieux peut ou doit céder, même aux heures les plus graves. Pour ce genre de gouvernement — (« ultra-moderne-et-à-l’avant-garde » se voulant ludique pour la Santé mentale et physique du plus grand nombre) — en tout cas.