Le Nouveau-Brunswick a dépassé samedi les 1000 cas actifs de COVID-19.
La province a signalé 126 nouveaux cas de virus et 92 guérisons, et a également noté qu’une personne dans la soixantaine est décédée des suites de la maladie.
La province a signalé que le nombre total de cas actifs avait atteint 1003.
La Santé publique a également confirmé qu’une personne atteinte de COVID-19 est décédée d’une cause non liée au virus.
Une répartition régionale des nouveaux cas indique que 37 nouvelles infections sont dans la région de Moncton, 20 dans la région de Saint-Jean et 38 dans la région de Fredericton.
Il y a également 11 nouveaux cas dans la région d’Edmundston, quatre nouveaux cas autour de la zone de Bathurst et 16 cas dans la région de Miramichi.
La médecin-hygiéniste en chef du Nouveau-Brunswick a déclaré qu’elle ne voyait pas de besoin immédiat de nouvelles restrictions sanitaires malgré le nombre toujours élevé de cas quotidiens de COVID-19.
La docteure Jennifer Russell a déclaré vendredi qu’elle était préoccupée par les derniers chiffres, les 174 cas signalés jeudi étant le plus grand nombre en une journée depuis le début de la pandémie. Le décompte de vendredi de 143 est arrivé juste derrière.
129 nouveaux cas en N.-É.
La Nouvelle-Écosse a signalé samedi 129 nouveaux cas de COVID-19, alors que les conséquences d’une éclosion qui a commencé à l’Université St. Francis Xavier à Antigonish se sont poursuivies pendant le week-end.
La Santé publique a signalé 64 cas dans la zone centrale qui comprend Halifax, ainsi que 52 cas dans la zone est, 10 cas dans la zone nord et trois cas dans la zone ouest.
Le docteur Robert Strang, médecin-hygiéniste en chef de la province, a déclaré vendredi que la plupart des nouveaux cas signalés dans la région d’Halifax sont liés à l’éclosion universitaire, car certaines personnes se sont rendues à l’université depuis la capitale le week-end dernier.
De plus, il a déclaré que certains cas positifs étaient des étudiants qui vivent à Antigonish, mais qui sont originaires d’Halifax, et sont donc enregistrés dans la zone centrale en raison de l’adresse figurant sur leur carte de santé provinciale.
La santé publique a déclaré dans un communiqué publié samedi que les personnes infectées lors de l’éclosion présentent des symptômes relativement bénins et que les cas concernent principalement des jeunes entièrement vaccinés.
L’agence affirme également que la flambée des tests et des cas positifs entraîne des retards dans le suivi des infirmières de la santé publique.
