Le Réseau de santé Horizon, au Nouveau-Brunswick, se targue d’améliorations

FREDERICTON — La PDG de l’une des deux principales autorités sanitaires du Nouveau-Brunswick affirme que le recrutement et la rétention du personnel demeurent la principale préoccupation de l’organisation.

Margaret Melanson, du Réseau de santé Horizon, affirme que les horaires des infirmières, qui laissent souvent peu de place à la conciliation travail-vie personnelle, sont l’une des principales raisons qui les poussent à démissionner.

Mme Melanson a souligné lundi devant les journalistes les millions de dollars dépensés pour les 12 hôpitaux du réseau Horizon au Nouveau-Brunswick et la centaine d’installations médicales, de cliniques et de bureaux dans la province.

Elle assure que des améliorations sont apportées aux soins d’urgence, aux listes d’attente pour des chirurgies et aux services de santé mentale.

Mme Melanson soutient que «seulement» 2 % des patients qui se présentent à la salle d’urgence de l’Hôpital régional Dr Everett Chalmers, à Fredericton, partent de guerre lasse sans avoir été vus par un médecin.

Elle soutient aussi que le Réseau de santé Horizon a réduit de 70 % la liste d’attente pour les services de santé mentale, grâce à l’introduction de la «thérapie en une seule séance». 

Laisser un commentaire

Les commentaires sont modérés par l’équipe de L’actualité et approuvés seulement s’ils respectent les règles de la nétiquette en vigueur. Veuillez nous allouer du temps pour vérifier la validité de votre commentaire.