Le 21 mai, on fête quoi ?

Que faire de votre congé du 21 mai ? Se demander quelle fête on célèbre exactement, voilà qui peut facilement remplir une longue fin de semaine.

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…mais la souveraineté se fait dans la démocratie, comme le soutenait avec conviction M. René Lévesque.

Malheureusement cette journée est comme un buffet où l’on Fête qui on veut, nous avons perdu une journée pour fêter le fait français en Amérique, avec la disparition de la St-Jean-Baptiste on est devenus des orphelins, il ne faut plus affirmer notre identité de peur de passer pour des racistes, pourtant on trouve normal que les Irlandais aient leur journée identitaire avec une parade où l’on se fait un point d’honneur de porter du vert!
C’est le triste résultat d’avoir laissé notre fierté de côté de peur de froisser la galerie, pourtant pour l’immigration, parler français et assimiler notre culture est le meilleur moyen de s’intégrer à la majorité et de devenir comme nous, des francophones et non de s’intégrer à la minorité anglophone.
Au Brésil, on parle portugais même si on est entourés d’espagnols comme le Québec est entouré d’anglophone, mais eux au moins, se font respecter car il est presqu’impossible pour un émigrant qui désire vivre au Brésil de ne pas parler portugais pour travailler, l’émigration francophone a été obligée d’apprendre l’anglais pour trouver du travail au Québec, il faudrait que dans les textes de loi, on ne pourrait pas refuser un travail à celui qui ne parle pas anglais, car il semble aujourd’hui plus facile de trouver du travail si on parle anglais, chercher l’erreur!
Où je travaillais, Il y avait une section française et une autre anglaise et dans les offres d’emplois, il fallait maîtriser le français et l’anglais pour les postes affichés de la section française alors que pour ceux de la section anglaise le français n’était qu’un atout, si ce n’est pas de la discrimination, je me demande bien ce que c’était!
Le français depuis la confédération ne cesse de fondre comme glace au soleil au point que d’ici quelques années on se fera assimiler comme la moitié de la population francophone qui a émigré partout en Amérique, pour devenir finalement un peuple folklorique.

Ça règle pas grand’chose, mais c’est vraiment amusant. Apportez-ça à votre brunch aujourd’hui!

Sans oublier, au lendemain de la Pentecôte à partir de cette année, la mémoire liturgique de Marie, Mère de l’Église, eh oui !

Mais c’est moi qu’on fête ! du moins je l’ai toujours cru, le 21 mai a toujours été ma fête, c’est la 75 ième fois aujourd’hui , j’en ai l’habitude et j’ai l’intention de continuer.

Cet article m’apparaît inutile . Reparler de Dollard ou de la Reine est hors
du temps . Nous célébrons la fêtes des Patriotes . Un article rappelant leur
contextes historiques aurait plu davantage .

Bravo, Mathieu, pour ce rapide « survol » de la question, éminemment « québécois » et non moins « canadien français » ( french canadian, si l’on préfère )… Bonne fête, cher « réflecteur », tout aussi perplexe et indécis que nous tous… Une autre « journée fériée »? Ah oui, et pourquoi au juste? Rappelez-moi, je vous prie… Ousqu’on s’en va, déjà?… Aucune idée… mais on y va, c’est sûr! Bon voyage, à nous tous! On se r’verra p’être dans un prochain monde…

Il y a quelques années, j’étais au salon de coiffure pour une coupe de cheveux.
La jeune coiffeuse fraîchement diplômée de CEGEP parlait de la fête et pour elle c’était la fête du Dollar $$$.
J’avais envie de rire, mais je me suis retenu de peur qu’elle me fasse un coche…

Lors de ma jeunesse, années 1950+, on célébrait la Dollard-Des-Ormeaux à Sudbury, Ontario avec des jeux athlétiques, des coquelicots, des feux d’artifices, etc. Le reine Victoria?????C’est qui çà? Aujourd’hui, le 21 mai,c’est un congé, comme les autres congés.

Il y a longtemps que j’ai résolu ce dilemne aussi politique soit-il car la fin de semaine avant le 25, c’est ma fête. Voilà une bonne façon d’utiliser la tétralogie capillaire longitudinale ou, si vous préférez, l’art de couper les cheveux en quatre, pour offrir à chacun/e (à Dollard, Bébette et Papineau) un segment d’éternité, tout en réservant le dernier brin pour ma postérité qui, au demeurant, n’en a rien à cirer (sauf potentiellement ma moustache). Mais bon, j’aime bien Pat…