Chez les Bernier-Parisé, on mange de l’agneau « tous les jours ou presque ». Il y a tellement de façon de l’apprêter et de l’apprécier, pourvu qu’on le serve rosé !
« J’ai un faible pour l’épaule », avoue Marie-Claude. Par exemple pour des steaks d’épaule, tranchés dans cette partie de l’agneau non désossée, marinés et cuits sur le barbecue.
« L’épaule, dit-elle encore, doit toujours être marinée. » Sa marinade ? De l’huile d’olive, du vinaigre balsamique, de la pâte et de la poudre de cari, une touche de sirop d’érable, de la sauce Worcestershire, de la moutarde de Dijon et du poivre.
Mais pour manger si souvent de l’agneau, il faut bien varier les façons de le préparer ! Marie-Claude Parisé souligne qu’on peut faire le gigot en brochettes ou la longe en fondue – délicieux, une fondue à l’agneau. « L’agneau haché va très bien dans le chili con carne, la sauce à spaghetti, le pâté chinois ou les feuilles de vigne. Sans parler des hamburgers à l’agneau, qu’on appelle parfois lamburgers… »
Autre délice : les jarrets confits dans la graisse de canard. « Les restaurateurs nous en achètent de plus en plus, tellement que nous commençons à en manquer. »