Peu importe le moment de la journée où on l’arpente, la capitale de l’Équateur — première ville au monde à avoir été inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial de l’Unesco — dévoile toutes sortes d’ambiances lumineuses. La preuve en 13 clichés.
Première ville au monde à avoir été inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial de l’Unesco (en 1978), Quito — où je me trouve présentement — s’avère une réelle splendeur coloniale, dans ses quartiers historiques.
Qu’on l’arpente de tôt matin, en fin de journée ou même de nuit, la capitale de l’Équateur — maintenant reliée à Montréal par Copa Airlines — dévoile aussi toutes sortes d’ambiances lumineuses. Surtout l’automne, quand les humeurs changeantes du climat ajoutent à l’intensité dramatique des lieux. Voyez plutôt.
Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 90 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.
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La façon dont s’entremêlent l’ombre, la couleur et la lumière ; tout cela est à couper le souffle. L’altitude peut-être ? La dénivellation du lieu, tout comme sa densité d’habitat, tout comme la forme du relief, cette composition apporte au lieu une ornementation naturelle grandiose qui n’est pas exempte d’une théâtralité émouvante qui par le fait-même dispense de toute déambulation monotone. Bref, on sent dans ces photos l’œil de l’émerveillement qui nous transporte tout-à-fait aux antipodes de cette trame urbaine emblématique de nos banlieues nord-américaines.
Ombre, lumière et or, hauteurs, reliefs, mystères. Que dire de plus ? Ces images parlent d’elles-mêmes.
La façon dont s’entremêlent l’ombre, la couleur et la lumière ; tout cela est à couper le souffle. L’altitude peut-être ? La dénivellation du lieu, tout comme sa densité d’habitat, tout comme la forme du relief, cette composition apporte au lieu une ornementation naturelle grandiose qui n’est pas exempte d’une théâtralité émouvante qui par le fait-même dispense de toute déambulation monotone. Bref, on sent dans ces photos l’œil de l’émerveillement qui nous transporte tout-à-fait aux antipodes de cette trame urbaine emblématique de nos banlieues nord-américaines.
Ombre, lumière et or, hauteurs, reliefs, mystères. Que dire de plus ? Ces images parlent d’elles-mêmes.