De plus en plus répandu dans les villes du globe, l’art de la rue — ou art urbain, alias street art — se retrouve souvent sur les murs aveugles, les façades de béton, les immeubles désaffectés ou les piliers de viaducs, de Montréal à Berlin.
Mais ces derniers temps, certains établissements hôteliers ont encouragé la création de ce type d’œuvres sur les murs des chambres, dans le stationnement souterrain ou autour de la piscine, rapporte The Daily Traveler.
C’est ainsi que l’hôtel The Alexander a conclu une entente de partenariat avec le Indianapolis Museum of Art pour inviter des artistes de renom à égayer ses murs de béton, alors que chacune des 46 chambres du Majestic Minima d’Adelaide, en Australie, a été transformée en œuvre d’art habitable par un groupe de créateurs locaux.
À Las Vegas, l’hôtel SLS, conçu par Philippe Starck, intègre pour sa part des chambres décorées par le maître calligraphe Tarek Benaoum, tandis que le graffiteur français Paul Conquerel s’est vu offrir de grands pans de murs dénudés, dans le stationnement du Radisson Blu Hotel de Pudong, le quartier ultramoderne de Shanghai.
Pour découvrir en détails plusieurs exemples d’art urbain dans les hôtels, consultez l’article du Daily Traveler.
* * *
À propos de Gary Lawrence
Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 90 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.
