Aux abords du pan de Makgadikgadi, dans le désert du Kalahari botswanais, les suricates fourmillent littéralement, par endroits.
Ces petites créatures aux allures d’adorables peluches sont en fait de redoutables carnivores, capables de s’offrir comme gueuleton des lézards, des petits serpents et même des scorpions.

De tôt matin, lorsqu’on réussit à repérer l’un de leurs innombrables terriers, on peut voir sortir les suricates les uns après les autres pour se chauffer au soleil tout en montant la garde, bien dressés sur leurs pattes de derrière. Mieux : dès lors qu’on s’assoit près d’eux, immobile, et qu’on attend patiemment, il n’est pas rare que certains se juchent sur une jambe, un bras ou… la tête.
Pour compléter mon article Être à la hauteur avec les suricates, récemment publié dans Le Devoir, voici une galerie de photos de ces drôles de petites mangoustes… et de quelques braves volontaires qui ont accepté, l’espace de quelques minutes, de leur servir de promontoire humain.








Pour en savoir plus sur le contexte de cette galerie de photos, rendez-vous ici.
Pour organiser votre propre rencontre avec les suricates, visitez le site du voyagiste Passion Nomade.
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À propos de Gary Lawrence
Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 90 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.