L’écrivain colombien Héctor Abad Faciolince console les femmes en peine en leur glissant à l’oreille des conseils pas toujours très sages et des recettes de cuisine souvent abracadabrantes.
C’est plein d’humour, un brin libertin sinon pervers, grinçant et drôle. Et faussement vertueux, même quand il est dit que « rien n’adoucit davantage les peines de l’esprit que les confitures ».
Ce délicieux Traité culinaire à l’usage des femmes tristes est publié chez JC Lattès.
Bonjour,
Suite à la lecture de cet entrefilet littéraire, j’ai couru me le procurer. Je le déguste encore à petites bouchées, je savoure les mots lentement en les laissant fondre sur ma langue.
Bref c’est un régal!
Merci de ce conseil culinaire.