
David Desjardins
Depuis ses débuts comme chroniqueur en 2002, David Desjardins n’a cessé de chercher l’angle inédit par lequel prendre le fait de société, la tendance ou la nouvelle. Cela n’est pas une posture ni une provocation chez celui qui collabore au magazine L’actualité depuis 2011. C’est plutôt une manière de se placer en marge pour mieux comprendre la mécanique des faits, mais surtout celle de nos réactions devant ceux-ci. Toujours actif dans plusieurs médias, David Desjardins est basé à Québec. Il est aussi vice-président et fondateur de l’agence La Flèche, spécialisée en marketing de contenu.
Alors que l’humanité mène une lutte sans merci contre la douleur, notre chroniqueur, lui, court après, et l’un des moyens les plus efficaces de la trouver combine vélo et montagne.
Toujours vivant
Chez Constance Debré, le renoncement au monde est si puissant qu’il vient frapper de plein fouet les histoires que nous nous racontons pour justifier nos contorsions morales.
Sauve qui peut !
Une sorte de renoncement au monde est en cours et il s’agit d’une réaction à la tyrannie sédentaire provoquée par la féerie du numérique.
Le répertoire des bonheurs improbables : J’aime le chat de Schrödinger
Pendant que tout le monde capote sur l’IA, notre chroniqueur continue d’être fasciné par la pensée humaine.
Grosse fatigue
La fatigue est un problème de société qu’on ne réglera pas en s’inscrivant au cours de yin yoga du lundi soir, même si ça ne peut pas nuire.
J’aime (le réseau social) BeReal
La vie plate est fascinante et plus intéressante que celles mises en scène sur Facebook ou Instagram. Et pour le constater, il y a un réseau social qui lui est consacré, au grand bonheur de notre chroniqueur.
Le répertoire des bonheurs improbables : j’aime vieillir
Ne vous fiez pas à sa photo : notre chroniqueur n’a plus cette apparente jeunesse. Et c’est bien parfait pour lui.
Les joyeux naufragés
La récession qui nous guette nous rappelle à notre rang de dindons bien farcis. Tout ça pour alimenter la rapacité de rares privilégiés.
Le répertoire des bonheurs improbables : J’aime courir l’hiver dans le noir
Notre chroniqueur trotte dans les rues de Québec (et dans le bonheur) tel un ninja quand le froid et la nuit s’unissent pour faire fuir dans les chaumières la moyenne des ours.
Lire Bobin et vivre
Décédé le 23 novembre dernier, l’écrivain français Christian Bobin reste une nécessité contemporaine. Le lire, c’est s’abandonner à l’émerveillement et au beau, en prenant une pause du grand tapage ambiant. Notre chroniqueur nous décrit le bien que ses livres font.
Le répertoire des bonheurs improbables : J’aime les films de combat
Les films de combat sont violents. Et foi de notre chroniqueur, franchement salvateurs. Comme dirait Arnold : « Hasta la vista, David. »
De la boisson
Les autorités sanitaires mènent une croisade contre l’alcool, ce lubrifiant social essentiel à la vie, la vraie.