
David Desjardins
Depuis ses débuts comme chroniqueur en 2002, David Desjardins n’a cessé de chercher l’angle inédit par lequel prendre le fait de société, la tendance ou la nouvelle. Cela n’est pas une posture ni une provocation chez celui qui collabore au magazine L’actualité depuis 2011. C’est plutôt une manière de se placer en marge pour mieux comprendre la mécanique des faits, mais surtout celle de nos réactions devant ceux-ci. Toujours actif dans plusieurs médias, David Desjardins est basé à Québec. Il est aussi vice-président et fondateur de l’agence La Flèche, spécialisée en marketing de contenu.
Notre chroniqueur trotte dans les rues de Québec (et dans le bonheur) tel un ninja quand le froid et la nuit s’unissent pour faire fuir dans les chaumières la moyenne des ours.
Lire Bobin et vivre
Décédé le 23 novembre dernier, l’écrivain français Christian Bobin reste une nécessité contemporaine. Le lire, c’est s’abandonner à l’émerveillement et au beau, en prenant une pause du grand tapage ambiant. Notre chroniqueur nous décrit le bien que ses livres font.
Le répertoire des bonheurs improbables : J’aime les films de combat
Les films de combat sont violents. Et foi de notre chroniqueur, franchement salvateurs. Comme dirait Arnold : « Hasta la vista, David. »
De la boisson
Les autorités sanitaires mènent une croisade contre l’alcool, ce lubrifiant social essentiel à la vie, la vraie.
Le répertoire des bonheurs improbables : J’aime les bars miteux
On les appelle « bars de région » ou « tavernes de quartier », qu’importe : ces temples consacrés à ceux qui refusent de suivre la parade disparaissent au même rythme que les églises.
La forme avant le fond
La rhétorique a été sacrifiée sur l’autel du prêt-à-penser. Avec pour victimes collatérales les nécessaires débats de société qui ne peuvent plus être tenus.
La place du mort
Dans un étonnant récit, l’auteur David Dorais met en scène un personnage désormais occulté dans la vraie vie : la mort, sous toutes ses facettes.
L’avenir n’est pas écrit
« J’ai fait les compromis qu’il fallait pour être heureux, et le plus souvent, je le suis. » Une chronique de David Desjardins.
Le dormeur doit s’éveiller
Il flotte dans l’air chaud du mois d’août une sorte de mélancolie et quelque chose de prodigieux. L’ambiance idéale pour entrer dans le monde du romancier Patrick Modiano, dit notre chroniqueur David Desjardins.
Révolution psychédélique, prise 2
Préparez-vous : dans l’Ouest canadien, des patients dépressifs sont traités avec des champignons magiques. Et ça s’en vient ici. En fait, c’est déjà là, écrit notre chroniqueur David Desjardins.
La mort piratée
Avec nos vies numériques, nos existences survivent à la mort réelle, ce qui laisse peu de place à la cicatrisation de ces plaies, mais beaucoup aux flibustiers du Web.
Ce qu’il faut retenir d’André Arthur
Notre collaborateur, journaliste et chroniqueur de Québec s’est déjà retrouvé au micro d’André Arthur. S’il est de bon ton de dénoncer l’attitude odieuse de l’animateur décédé la fin de semaine dernière, écrit-il, on pourrait aussi montrer du doigt ceux qui se sont enrichis grâce à son style.