Nos animateurs préférés rendent notre vie plus agréable. Pas étonnant que leur départ nous fasse vivre une véritable peine d’amitié, dit Josée Boileau.
Lundi, lorsque le premier ministre Justin Trudeau a présenté son projet de loi qui resserre le contrôle des armes à feu, j’avoue n’avoir eu qu’un réflexe, celui de me demander : est-ce que ça tirera dans les rues de Montréal encore ce soir ?
Le Québec est peut-être un pays de glace, mais c’est aussi une terre d’eau, et les cours de natation exigent la même attention politique que le sport de Guy Lafleur !
Quel choc que la mort du romancier François Blais, à seulement 49 ans, et quelle tristesse que ce soit « sa propre décision », comme l’a sobrement présenté Geneviève Pigeon, son éditrice à L’instant même.
Il faut beaucoup de courage pour oser se lancer en politique. Et pourtant, il s’agit d’un volontarisme indispensable pour la poursuite de la démocratie.
Les remous qu’a suscités Gregory Charles en plaidant pour une vaste rénovation du monde de l’éducation ont eu du bon : ils permettent de cerner le problème. Qui n’est toutefois pas celui que vous croyez.
Bien que la fin de District 31 nous désole, il fait chaud au cœur de constater que notre peine est partagée par des centaines de milliers d’adeptes. La télévision est encore un formidable lieu de rassemblement au Québec.
Un chez-soi, c’est d’abord un milieu de vie, que les jeunes familles n’arrivent cependant plus à choisir, contraintes de s’établir là où elles ne le souhaitaient pas.
Le contrecoup généralisé de l’inflation exigeait une réponse universelle. Ceux qui raillent la mesure du gouvernement pour soulager les Québécois de l’inflation vivent coupés de leur société.
Le printemps érable fut d’une telle ampleur que les souvenirs varient selon les événements mis en valeur. Mais ce qui compte le plus, c’est l’ancrage de ce printemps dans la mémoire collective.
Rivée devant les images du conflit en Ukraine, notre collaboratrice Josée Boileau s’imagine en train de bloquer le passage des tanks, ou de faire ses bagages pour prendre la route de l’exil, et s’interroge : cette compassion de salon, ça rime à quoi ?
La première politique nationale d’architecture et d’aménagement du territoire permettra-t-elle de débarrasser le Québec des verrues qui défigurent ses villes, ses villages et ses paysages ?