Réalisation et musique : Antoine Bordeleau
Pour consulter le deuxième bulletin des ministères de L’actualité, cliquer ici.
Alec Castonguay et Marc-Nicolas Kobrynsky nous présentent les coulisses de la seconde édition du bulletin des ministères de L’actualité. Il est question de planification désastreuse, d’objectifs inadéquats et de gestion hasardeuse des ressources des ministères du gouvernement du Québec. Mention toute particulière au ministère de l’Éducation.
Réalisation et musique : Antoine Bordeleau
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C’est pour toutes ces raisons que nous devons changer nos fonctionnaires pour des gestionnaires. Regardez l’organigramme des ministères …..affreux . Au lieu d’être en forme de pyramide is sont comme un diamant inversé……trop de directeurs pas assez de personnel pour le service.
Il manque un gros leadership là-dedans.
On devrait voter pour Henry Mintzberg afin de faire le ménage dans nos ministères.
Revoir nos processus …..avec Nos Universités cela servirait de financement pour ces dernières.
Comme cela aurait dû être fait lors de l’intégration de l’informatique dans notre Système de Santé….se servir de nos Universités cela serait une grande solution sans avoir de corruption.
On devrait avoir une politique gouvernementale qui place sur la meme longueur des ondes les ministeres municipaux, provinciaux et federaux pour faire avancer les projets prioritaires.
Et bien entendu, ce sont les libéraux, supposément champion
de l’économie, qui dorment au gaz depuis 15 ans là-dessus
aussi. N’étaient-ils pas supposés s’occuper seulement des
« vraies affaires » ? S’ils ne se sont même pas préoccupés
de l’atteinte des objectifs que les Ministères se fixaient
eux-mêmes, ni même carrément de l’existence pure et
simple d’objectifs tout court dans plusieurs cas, voulez-
vous bien me dire ce qu’ils font quand ils sont au
gouvernement ? Lancer de belles initiatives législatives
pour l’image en se foutant de leur réalisation concrètes ?
Quelle bande de paresseux incompétents…
Bonjour,
Tout d’abord, bravo et surtout merci pour votre initiative. Vous faites vraiment oeuvre utile, tant pour les gestionnaires publics et leurs patrons, les ministres et le premier ministre, que pour ceux qui choisissent à qui ils confieront la charge de gouverner, nous les citoyens-électeurs.
Espérons qu’à l’instar de Pierre Arcand, l’orgueil de l’ensemble des dirigeants politiques sera chatouillé par vos résultats, de façon à ce qu’ils redressent sérieusement la situation.
Le premier ministre devrait jouer le rôle de maître d’oeuvre de la vision sociale qu’il propose à la population et sur la base de laquelle la population l’élit. Cette vision doit ensuite s’articuler au sein de chacun des ministères, chargés d’amener sa sphère d’activités vers l’atteinte du résultat voulu et choisi par la population à travers les élections. Tout cela est tellement simple et logique qu’il est aberrant de réaliser à quel point nos dirigeants dépensent notre argent à l’aveugle!… C’est franchement irresponsable de leur part.
La beauté de votre travail, c’est qu’il met la lumière sur la déficience des fonctionnements actuels et crée une sorte d’imputabilité objective qui ne peut être ignorée, enfin je l’espère.
Je me demandais juste une chose toutefois. Est-ce qu’il n’y aurait pas lieu de tenir compte du degré de difficulté inhérent à l’atteinte de chacun des objectifs? En effet, si les objectifs sont peu ambitieux, il peut être facile de les réaliser, de sorte que ça pourrait créer un biais: un ministère a une bonne note en terme de réalisation, mais ses réalisations sont peu significatives. Je pose la question.
Bravo encore pour votre travail, et vous m’avez convaincue de m’abonner à votre magazine!
Salutations.
faut il être surpris…??