L’édito

Que gagne-t-on à laisser les zoos ouverts ? Rien si la présence des espèces qui y sont gardées en captivité ne mène pas à une plus grande conservation de leurs habitats naturels.

Il est de bonne guerre de se soucier de la pénurie de main-d’œuvre, mais pas au prix de la sécurité et du développement d’enfants qui viennent à peine de terminer leur cours primaire.

Les dérapages de l’État québécois comme du canadien ces dernières années constituent un rappel à l’ordre : relever ne serait-ce que d’un cran le sens général de la responsabilité est une urgence nationale.

Nous ne sommes pas obligés d’accepter toutes les avancées de l’intelligence artificielle au nom du progrès.

Réfléchir à l’identité de genre, c’est soulever une foule de questions fascinantes, qui en choqueront certains. Mais elles ne disparaîtront pas pour autant.

Ils sont maires, citoyens, auteur, athlète et femme d’affaires. En 2022, ils ont marqué le Québec, chacun à leur manière et pour le mieux.

Sur le long cours, le monde ne va pas aussi mal qu’on le dit. Et comme l’humanité a déjà accompli des miracles, on peut croire raisonnablement qu’elle en réalisera d’autres.

Le télétravail et la pénurie de main-d’œuvre, parmi d’autres phénomènes inédits, ont provoqué une grande démission dans le monde du travail. L’époque n’est plus à se tuer à l’ouvrage.

Pourquoi s’intéresser à une élection dont on connaît déjà l’issue ? Parce que la prochaine Assemblée nationale doit pouvoir compter sur une opposition prête à exercer ce contre-pouvoir indispensable, répond notre rédactrice en chef, Claudine St-Germain.

Si L’actualité a fait le choix controversé de mettre Mathieu Bock-Côté à la une, c’est pour comprendre l’influence qu’il a sur le Québec. Avec toutes les nuances qui s’imposent, écrit notre rédactrice en chef, Claudine St-Germain.

Cette liste de 25 œuvres n’est ni exhaustive ni exclusive, et est surtout sans prétention. Mais elle témoigne d’une chose : les romans sont de formidables révélateurs d’une nation.

Régulièrement, des exemples nous rappellent que l’importance de préserver le fait français n’est jamais acquise au Canada. C’est encore plus flagrant depuis quelques mois.