
Son tempérament débonnaire lui a valu le surnom de « papa Haydn », qu’il méritait aussi parce que celui dont on fête le 200e anniversaire de la mort est qualifié de « père » de la symphonie et du quatuor à cordes. Il n’a inventé ni l’une ni l’autre, mais leur a donné leurs lettres de noblesse. Témoin ces œuvres célèbres, magnifiquement exécutées par l’un des meilleurs quatuors de la jeune génération.