Culture

Il connaît la Sanson

Il aura bientôt 50 ans, elle n’en paraît pas 59. Il a une voix de lin froissé, elle, un vibrato caractéristique. C’est un taciturne brun, elle, un ouragan blond. L’homme de théâtre a dirigé Sylvie Drapeau, Élise Guilbault, Marc Labrèche. Elle a chanté ses désirs et ses démons, ses dépressions et ses rédemptions. Il signe le premier spectacle solo de l’humoriste André Sauvé ; elle revient aux FrancoFolies de Montréal après 17 ans d’absence. Pierre Bernard aime Véronique Sanson. Le fana absolu n’est là que pour parler de son idole.

Et Dieu créa les dinosaures…

Le premier musée du créationnisme a ouvert ses portes au Kentycky. Son but ? Convaincre les Américains que les humains et les dinosaures ont cohabité sous le regard bienveillant de leur unique créateur : Dieu.

Un moineau rare

Il chante les atlas, les oiseaux, le système métrique et les porcs-épics « sympa-sympa-sympatiques ». Et il vole d’un succès à l’autre. Heureusement, Damien Robitaille sait aussi atterrir !

À chacun son country

Il y a les « vrais », qui attirent les foules mais se butent à l’indifférence des radios commerciales. Et les occasionnels, stars consacrées de la chanson, dont le « retour aux sources » est acclamé par les médias. Finit-on tous un jour par succomber à cette musique de l’âme ?