Comment se préparer au grand chantier de l’IA

Les formations sur les mégadonnées et l’intelligence d’affaires (IA) offertes par l’École des dirigeants de HEC Montréal constituent un tremplin idéal pour tirer profit des bénéfices de l’IA au sein de votre entreprise, quelle que soit sa taille.

IA, mégadonnées, valorisation des données… Les mots à la mode passent, mais le problème fondamental demeure : de nos jours, pour tirer son épingle du jeu, une entreprise doit exploiter les données qu’elle produit, parfois même sans s’en rendre compte.

Jean-François Plante, professeur au Département des sciences de la décision de HEC Montréal et formateur à l’École des dirigeants

« On ne peut pas laisser cette matière première inexploitée, car ce serait se priver d’un avantage concurrentiel », affirme Jean-François Plante, professeur au Département des sciences de la décision de HEC Montréal et formateur à l’École des dirigeants, où il anime le cours Le Big Data et l’intelligence artificielle (IA) : des actifs stratégiques pour votre entreprise. L’adoption de l’IA par les entreprises canadiennes reste encore faible. Seulement 16 % d’entre elles y ont recours, selon un rapport de Deloitte datant de 2018. Pourtant, la plus modeste des PME gagne à embrasser cette technologie, à condition de savoir pourquoi elle s’engage sur cette voie.

« Pour créer de la valeur, il faut s’assurer de répondre à de vrais problèmes d’affaires. Faire de l’IA pour le simple plaisir de faire de l’IA est destiné à l’échec », met en garde Sarah Legendre-Bilodeau, experte en science des données, fondatrice de l’entreprise technologique Videns Analytics et formatrice à l’École des dirigeants de HEC Montréal.

Réaliser des gains, et vite
Sarah Legendre-Bilodeau, experte en science des données, fondatrice de l’entreprise technologique Videns Analytics et formatrice à l’École des dirigeants de HEC Montréal

Investir dans l’IA permet essentiellement d’automatiser des processus chronophages et énergivores – pensons par exemple aux questions répétitives reçues par le personnel affecté au service à la clientèle. C’est libérer du temps afin que les employés l’investissent dans des tâches plus rentables. « Pour une entreprise qui part de zéro, il y a de beaux gains à réaliser sur un horizon de quelques mois à peine, indique Sarah Legendre-Bilodeau. L’IA vient soutenir et bonifier les activités d’affaires courantes. »

Cette transformation doit cependant être opérée avec doigté. Plusieurs défis se dressent sur la route des décideurs, dont celui de s’assurer que l’entreprise s’adapte petit à petit à cette nouvelle réalité. « Il faut augmenter le degré de maturité sur plusieurs dimensions en même temps, explique Jean-François Plante. Cela implique entre autres de faire évoluer son environnement technologique, d’adapter son modèle d’affaires et de gérer le changement à l’interne. »

Le savoir acquis sur les bancs de l’École des dirigeants de HEC Montréal est en ce sens primordial, ne serait-ce que pour aider les employés à comprendre ce qu’est l’IA et à y adhérer, et vaincre ainsi l’inévitable peur du changement. « Certains pourraient croire qu’ils seront remplacés par l’IA. Bien au contraire : il faut leur faire comprendre qu’ils sont des agents de changement », conclut l’expert.


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