
La donnée est l’électricité du 21e siècle; impossible pour une entreprise d’alimenter sa croissance sans elle. C’est par les données que passe l’innovation de pointe, condition indispensable à la création de produits et de services qui se démarquent de ceux offerts par la concurrence.

Sans données, il est par exemple impossible d’optimiser les chaînes de montage de l’usine intelligente ou d’améliorer la cybersécurité des entreprises. « Rares sont les domaines de nos jours où on ne génère pas de données, car celles-ci sont nécessaires pour entraîner une intelligence artificielle », explique Julien Crowe, directeur principal, Intelligence artificielle à la Banque Nationale.
L’institution bancaire recourt elle-même à l’IA dans le cadre de ses activités. Par exemple, sur son site Web, des robots conversationnels répondent à des questions fréquemment posées par les internautes, et ce, qu’ils figurent ou non parmi les 2,7 millions de clients de l’entreprise. « Cela nous permet d’offrir une qualité de réponse constante, sur demande, sans avoir à mobiliser des agents au service à la clientèle. Ces derniers peuvent se concentrer sur le service-conseil, qui est une tâche à valeur ajoutée », précise Julien Crowe.
Quand l’innovation passe par la collaboration
La Banque Nationale collabore en matière d’IA avec un nombre croissant d’entreprises, petites et grandes. Elle travaille actuellement avec une entreprise montréalaise de technologie financière afin d’améliorer l’anonymisation des données bancaires et de protéger ainsi l’identité des clients. Autre exemple : l’institution bancaire a travaillé avec une firme en fintech dans le but d’automatiser l’audit financier, une opération complexe à exécuter sans IA.
La Banque Nationale mise sur des partenariats où les intérêts respectifs convergent. Elle multiplie les collaborations avec des chercheurs issus du monde universitaire, notamment avec l’Institut de valorisation des données (IVADO), situé à Montréal. La Banque Nationale fait partie des 109 partenaires industriels d’IVADO, qui pilote quelque 273 projets de recherche scientifique en intelligence numérique.
Par l’entremise de son antenne d’investissement NA Capital de risque, la Banque Nationale est également ouverte à placer ses billes dans de jeunes pousses à l’avenir prometteur – au moins 17 au cours des quatre dernières années. « Nous investissons en priorité dans des entreprises qui proposent des solutions novatrices, du moins à nos yeux. Notre calcul est simple : si nous percevons de la valeur dans un produit ou un service, il y a fort à parier que nous ne serons pas les seuls à pouvoir en tirer profit », conclut Julien Crowe.
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