Un taux de diplomation qui frôle les 90 % et des écoles qui passent au mode virtuel en quelques jours. Non, on ne parle pas de la Scandinavie, mais de l’Ontario. Plongée dans un système d’enseignement public qui fonctionne.
L’idée de créer un ordre professionnel pour les enseignants refait régulièrement surface depuis des décennies, mais les syndicats s’y opposent. Est-il temps de s’inspirer de ce qui se fait en Ontario ?
Avec l’irrévérence et l’humour décapant qu’on lui connaît, Catherine Ethier anime Son de cloche, un balado de la Fédération autonome de l’enseignement sur les hauts et les bas de la vie de prof.
Je parle pendant quelques minutes qui me paraissent des heures. Je garde mes yeux rivés à l’écran afin de capter des sourcils levés, des sourires, des réactions quelconques à ce que je dis. Presque rien.
Au printemps dernier, pandémie oblige, les établissements d’enseignement ont dû fermer leurs portes. Mais s’il y a un établissement qui n’a pas été pris de court, c’est bien l’Université TÉLUQ, car l’enseignement à distance y fait ses preuves depuis longtemps.
C’est à une véritable modernisation de la culture universitaire qu’invite le rapport que vient de déposer Rémi Quirion, le scientifique en chef du Québec. Le dernier exercice du genre remonte à… 50 ans !