La crise du verglas, 20 ans
C’est le pire cataclysme naturel que le Québec ait connu. Du 5 au 9 janvier 1998, une quantité phénoménale de pluie verglaçante s’abat sur le sud-ouest de la province. Les installations d’Hydro-Québec ne résistent pas au poids de toute cette glace accumulée, et plus d’un million de Québécois se retrouvent sans électricité. Dans la zone la plus touchée, appelée le « triangle noir », certains sinistrés seront privés de courant pendant cinq semaines. En plein hiver. Retour sur la crise, 20 ans plus tard.

En conclusion de sa série de textes sur la crise du verglas de 1998, Alain Vadeboncœur revient sur les actions menées dans le réseau de la santé et les leçons qu’il a tirées de son expérience.
Le verglas est aussi une situation d’urgence sociale (7/8)
Une catastrophe naturelle, c’est aussi un défi pour la santé publique. Durant le verglas de 1998, il a donc fallu prendre en compte les aspects sociaux de la crise, afin d’assurer une meilleure prévention. Avant-dernier texte du récit d’Alain Vadeboncœur.
Des villes temporaires au cœur de la Montérégie (6/8)
En Montérégie, des dizaines de milliers de personnes ne trouvent plus où se loger durant le verglas de 1998. Il faut donc mettre sur pied des centres pouvant les recevoir. Suite du récit d’Alain Vadeboncœur.
Les hôpitaux paralysés par le verglas (5/8)
Les hôpitaux de la Montérégie frisent la catastrophe à plusieurs reprises pendant la crise du verglas. Il a fallu beaucoup d’imagination et souvent même de la chance pour passer au travers de cette crise. La suite du récit d’Alain Vadeboncœur.
Quand les communications gèlent aussi (4/8)
Lors du verglas de 1998, il faut rapidement réorganiser les services de santé. Mais comment y arriver alors que les communications sont presque impossibles ? Des cliniques aux hôpitaux en passant par les pharmacies, il faut tout coordonner, nous rapporte Alain Vadeboncœur, qui était sur place.
Les paramédics en mesures d’urgence (3/8)
Durant la crise du verglas de 1998, toutes les ressources humaines et matérielles en santé subissent une pression énorme. Les paramédics n’y échappent pas : ils doivent composer avec un volume d’appels qui atteint trois fois la normale. Suite du récit d’Alain Vadeboncœur.
L’appel venu du froid (2/8)
Le 9 janvier 1998, Alain Vadeboncoeur reçoit un appel des mesures d’urgence : on a besoin de lui. C’est le début de deux semaines endiablées où il va oeuvrer à la coordination des services médicaux en Montérégie. Second d’une série de huit textes.
Opération Tempête de verglas (1/8)
Vingt ans après le verglas, notre collaborateur Alain Vadeboncœur revit l’un des épisodes les plus intenses de sa carrière d’urgentologue : coordonner la réponse médicale en Montérégie durant une des pires catastrophes naturelles de l’histoire.
Les 6 leçons du verglas
Vingt ans après la crise du verglas, les Québécois sont-ils mieux préparés aux sinistres ?
Le grand récit de la crise du verglas
C’est le pire cataclysme naturel que le Québec ait connu. Du 5 au 9 janvier 1998, une quantité phénoménale de pluie verglaçante s’abat sur le sud-ouest de la province. Les installations d’Hydro-Québec ne résistent pas au poids de toute cette glace accumulée, et plus d’un million de Québécois se retrouvent sans électricité. Dans la zone la plus touchée, appelée le « triangle noir », certains sinistrés seront privés de courant pendant cinq semaines. En plein hiver. Vingt ans plus tard, 17 témoins directs des événements racontent le chaos, l’angoisse, le désespoir et la solidarité qu’ils ont vécus durant ces quelques semaines.