Le Canada a le pire des régimes de santé publics comparables dans le monde. La raison de cela est à la fois fort simple et compliquée : la Constitution, véritable frein à toute réforme porteuse.
Bien des entrepreneurs québécois ne trouvent personne à qui transmettre l’usine, l’atelier ou le commerce qu’ils ont fait croître pendant des années. Pour la relève, il y a pourtant là des occasions d’affaires étonnantes.
Des entreprises mortes-vivantes hantent l’économie et siphonnent des quantités considérables de ressources financières et humaines. Leur présence se fera fortement sentir sous peu.
La disparité des ressources financières entre universités francophones et anglophones en faveur de ces dernières devra être corrigée. C’est la santé de la langue française qui dépend.
Le bureau à la maison fait désormais concurrence aux groupes immobiliers présents dans les centres-villes, et cette maison est de plus en plus loin de la cité.
Ça licencie chez Google, Uber, Amazon et Netflix, notamment. Comme quoi, même qualifiée abusivement de « nouvelle », l’économie sur laquelle reposent ces entreprises répond aux mêmes impératifs du marché.
Ils sont plus souvent en échec, ils persévèrent moins : il est temps de se préoccuper des garçons à l’école. Leur sous-diplomation coûte cher à la société.
Après des effets limités jusqu’ici, les sanctions économiques contre la Russie commencent-elles enfin à restreindre la capacité du régime de Vladimir Poutine à mener sa guerre contre l’Ukraine ?