Comment pénétrer les marchés étrangers

Trois entrepreneurs québécois font part de leurs astuces pour vendre en dehors du Canada. La première : misez sur le français !

montage : L’actualité

À quel moment devriez-vous vous attaquer au marché américain ? Est-ce une bonne idée de miser sur des influenceurs pour faire connaître ses produits en dehors du Québec ? Faut-il modifier ses produits et services pour correspondre aux besoins du marché français ?

Il ne s’agit que de quelques-unes des nombreuses questions auxquelles ont répondu les dirigeants de Talent.com, Omy Laboratoires et Agendrix, trois entreprises québécoises qui connaissent du succès à l’international, dans le cadre du webinaire de L’actualité « Comment pénétrer les marchés étrangers ». 

L’événement, organisé en partenariat avec la CDPQ, a permis aux personnes inscrites d’obtenir des conseils concrets et pratiques pour que leurs entreprises puissent, elles aussi, prospérer hors de nos frontières. 

Pour savoir pourquoi le français est un atout de taille pour exporter ses services, et pour découvrir plusieurs autres astuces de ces entrepreneurs, regardez l’enregistrement du webinaire ci-dessous.


Intervenants

Lucas Martínez

Cofondateur et co-PDG, Talent.com

Talent.com est une plateforme de recherche d’emploi qui fait des affaires partout sur la planète. Elle compte des employés dans 21 pays et est en voie de devenir l’un des plus importants acteurs mondiaux de son secteur grâce à une levée de fonds récente de 120 millions de dollars américains.

Andrea Gomez

Cofondatrice et PDG, Omy Laboratoires

Omy Laboratoires est un fabricant de produits cosmétiques personnalisés — il y a 8 000 combinaisons possibles pour une seule crème ! — qui s’attaque présentement au marché américain en misant sur des collaborations avec des influenceurs sur les réseaux sociaux.

Mathieu Allaire

Cofondateur et PDG, Agendrix

Agendrix est une plateforme de gestion des employés pour les PME utilisée dans plus de 13 000 lieux de travail. Ses ventes en Europe, qui ont commencé de façon accidentelle, représentent désormais 15 % de ses revenus.

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