

Le Québécois Patrick Pichette, premier vice-président et chef de la direction financière de Google. Il parcourt à vélo, matin et soir, les 10 kilomètres qui séparent sa demeure de son bureau, au cœur du Googleplex, à Mountainview, en Californie.

Difficile de louper l’entrée du pavillon principal de Google. Elle se situe sur la rue… Google !

C’est l’heure du lunch sur la principale terrasse du Googleplex, truffée de parasols multicolores.

Un terrain de volley-ball accueille les «googlers» désireux de se changer un peu les idées.

Les Québécois Nicolas Sylvain et Marc-Antoine Ruel ont contribué à la mise au point du navigateur Chrome, qui vise à concurrencer Explorer, Firefox et Safari. Chrome compte déjà plus de 10 millions d’utilisateurs.

Une réplique grandeur nature de la navette SpaceShipOne trône à l’entrée du «bâtiment 43» de Google. SpaceShipOne a remporté, en 2005, le concours X Prize destiné à récompenser la première organisation privée ou non gouvernementale capable d’envoyer un avion dans l’espace. Larry Page, l’un des deux fondateurs de Google, siégeait au conseil d’administration de ce concours.

Même si Google compte de nombreux millionnaires depuis son inscription en Bourse, en 2004, il y a, dans le parc de stationnement, peu de voitures de luxe, mais beaucoup d’hybrides, comme ces Toyota Prius. Il n’est pas «googley» – cette expression désigne ce qui correspond à la culture de l’entreprise – d’exhiber sa richesse…

Comme en témoigne ce jardin, Google soigne son image écolo. L’une des cafétérias du Googleplex, le Cafe180, propose uniquement des produits dont les fournisseurs sont situés à moins de 300 km du siège social.

Une des multiples cafétérias du Googleplex. Google dépense des dizaines de millions de dollars par an pour nourrir ses employés.

Les couleurs de Google – bleu, jaune, rouge et vert – sont à l’honneur partout au siège social, y compris dans cette salle de formation.