
Et peu importe le sport, année après année, les revenus totaux générés par les grandes ligues professionnelles d’Amérique du Nord ne font qu’augmenter.
Même en temps de récession, bien des sacrifices seront consentis avant qu’on renonce à une partie de hockey. « Les partisans ont encore plus besoin de se divertir quand l’économie ne va pas bien », déclarait au Globe and Mail le banquier d’affaires américain John Moag, spécialisé en investissements dans le monde du sport professionnel.