• Travaille à la mise en œuvre d’un plan pour ses centrales au charbon en Alberta, afin de faire passer le taux de captage du mercure de 70 % à 80 %.
• En partie grâce à la mise au rancart de ses vieilles centrales au charbon, TransAlta a réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 36 % et celles de CO2 de 10,5 % de 2005 à 2012.
Cenovus
• A installé des caméras autour de trois de ses usines du nord de l’Alberta dans le but de limiter ses activités pendant les délicates périodes de migration et de reproduction du caribou.
• Au champ pétrolifère de Weyburn, le CO2 est séquestré sous terre plutôt que rejeté dans l’atmosphère. Il s’agit du plus grand programme géologique de stockage de CO2 au monde, avec plus de 20 millions de tonnes stockées de 2000 à 2012.

Talisman
• A adopté une politique globale sur les relations avec les collectivités qui respecte la Déclaration universelle des droits de l’homme et ses Principes volontaires sur la sécurité et les droits de l’homme. Talisman reconnaît également l’importance de la Déclaration sur les droits des peuples autochtones des Nations unies.
• En vertu de sa politique Publiez ce que vous payez, Talisman s’engage à divulguer les redevances, les impôts et autres paiements versés aux gouvernements des pays d’accueil, notamment dans les pays à haut risque où elle mène des activités.
Suncor
• En date de 2012, Suncor avait dépensé plus de 1,3 milliard de dollars pour la mise en place d’un nouveau procédé de récupération des résidus miniers, grâce auquel on en fait un dépôt s’apparentant à de la terre. Celui-ci peut ensuite être utilisé pour la revégétalisation des sols.
• Signataire de la Vision pour la conservation de la forêt boréale, Suncor reconnaît la nécessité de trouver l’équilibre entre son développement commercial et les meilleures pratiques en matière de gestion des sols.
Loblaw
• Seule entreprise canadienne à signer l’Accord bangladais sur les incendies et la sécurité, un programme visant à protéger les travailleurs bangladais des accidents et des effondrements d’immeubles.
• Depuis 2008, et avec l’accord de ses clients, a réduit de plus de six milliards le nombre de sacs de plastique dans ses magasins à la grandeur du pays.
Best Buy
• Possède en magasin un programme de recyclage de produits électroniques ayant atteint leur fin de vie. L’année dernière, l’entreprise a ainsi détourné du chemin des dépotoirs canadiens plus de 2,7 millions de kilos de déchets électroniques.
• Au cours des trois dernières années, a remis plus d’un million de dollars en bourses et matériel technologique aux organisations qui soutiennent l’éducation et le développement des jeunes au Canada.
Canadian Tire
• À la fin de 2013, Canadian Tire avait doté le toit de 32 de ses magasins canadiens de capteurs solaires. Le détaillant prévoit en ajouter deux autres en 2014. Chaque année, ces panneaux produiront assez d’électricité renouvelable pour alimenter 1 000 maisons de taille moyenne.
• De 2010 à 2013, a éliminé ou recyclé plus de 6 600 tonnes de déchets. Celles-ci s’ajoutent aux quelque 16 300 tonnes de batteries au plomb qu’elle a recyclées en 2013 seulement.

Rona
• Membre du Forum des entreprises pour la forêt boréale, une table ronde chargée de l’évaluation et de la progression de l’Entente sur la forêt boréale canadienne, qui vise à protéger cet écosystème.
• Distribue sa propre gamme de produits Rona Eco, qui comprend un fertilisant à base d’algues, un collecteur d’eau de pluie et des outils remis à neuf. Tous ces produits ont été soumis à des analyses de leur cycle de vie et ont été conçus dans le but de réduire l’impact à l’égard d’enjeux environnementaux majeurs.
Volkswagen
• S’est engagée à investir, d’ici 2016, 52 milliards de dollars dans la conception de véhicules écoénergétiques et d’usines respectueuses de l’environnement. Chaque nouvelle génération de voitures sera alors de 10 % à 15 % plus efficace que la précédente.
• Son programme Think Blue — Nature alloue plus de 350 000 dollars à la protection du corridor écologique de l’est de la Sierra Madre, au Mexique, territoire de quatre millions d’hectares et habitat de quelque 650 espèces en danger.
BMW
• La BMW i8 sera le premier véhicule à incorporer la technologie du laser à ses phares, ce qui les rendra 30 % plus écoénergétiques que les phares à DEL.
• Signataire des principes directeurs de l’Automotive Industry Action Group, visant à améliorer la performance de la chaîne d’approvisionnement en matière de durabilité.

Ford
• Ayant réduit sa consommation d’eau de 62 % de 2000 à 2010, Ford vise maintenant une nouvelle réduction de 30 % d’ici 2015 de la quantité d’eau nécessaire pour construire une voiture.
• Un des principaux investisseurs dans les obligations vertes émises à hauteur d’un milliard de dollars par la Société financière internationale (IFC) de la Banque mondiale. Lancées en 2013, ces obligations soutiennent les investissements en matière de lutte contre les changements climatiques dans les marchés émergents.
CN
• Prend plusieurs mesures pour protéger et stimuler les écosystèmes régionaux. Parmi celles-ci, des programmes de contrôle et d’évaluation des plans de développement de voies ferrées, afin de jauger leur impact sur la flore et la faune environnantes.
• A sondé 250 acteurs, dont les représentants du gouvernement et les communautés autochtones, pour l’aider à cerner les problèmes à régler en matière de développement durable.
UPS
• A déployé un nouveau système logiciel, ORION, afin d’optimiser les itinéraires de livraison et la consommation de carburant de ses camions. À la fin de 2013, celui-ci avait permis d’économiser plus de 5,6 millions de litres de carburant et réduit de 14 000 tonnes métriques les émissions de CO2.
• Exploite un parc de plus de 3 150 véhicules alimentés par du carburant de remplacement.
Zara
• Depuis 2008, a versé plus de 16 millions de dollars à Médecins Sans Frontières pour soutenir des programmes dans les pays en voie de développement. Plus récemment, ce partenariat a servi à fournir des soins médicaux d’urgence et des services d’aide humanitaire aux réfugiés syriens.
• A lancé un programme avec l’ONG Textile Exchange pour soutenir les coopératives agricoles de l’État d’Odisha, en Inde, en enseignant aux agricultrices comment mettre sur pied des banques de semences de coton biologique.
H&M
• A interdit l’utilisation de la fourrure dans tous les produits qu’elle distribue. De plus, sa marque de cosmétiques maison n’est pas testée sur les animaux.
• Premier acteur de l’industrie de la mode à lancer un programme mondial de recyclage de vêtements. En date de 2013, H&M en avait recueilli 3 047 tonnes, l’équivalent de 15 millions de t-shirts.
Adidas
• Se procure 96 % de son cuir non européen auprès de tanneries cotées Or ou Argent par le Leather Working Group, une organisation qui promeut les bonnes pratiques environnementales au sein de l’industrie du cuir.
• Le fonds GreenEnergy d’Adidas n’investit que dans les programmes internes d’efficacité énergétique de l’entreprise, dans l’intention d’accélérer la réduction de son empreinte carbone tout en obtenant un bon rendement des investissements.
Gildan
• Fournit des soins de santé à tous ses employés en Amérique centrale, en République dominicaine et au Bangladesh, par l’intermédiaire d’infirmeries dans chacune de ses usines. L’équipe médicale 24 heures de Gildan offre sur place des services de base, tels que soins prénataux et vaccins.
• A fait passer à la biomasse ses usines d’Amérique centrale et du bassin caraïbe. En 2013, 52 % de l’énergie totale consommée par Gildan provenait de sources renouvelables.
Nike
• A ouvert sa première installation ColorDry, qui élimine l’utilisation d’eau et de produits chimiques pour la teinture des tissus. Le procédé réduit le temps de teinture de 40 % et la consommation d’énergie d’environ 60 %, comparativement aux méthodes habituelles.
• Le répertoire des matériaux durables de Nike est une base de données publique d’évaluation des tissus et matériaux, grâce à laquelle les créateurs de l’industrie peuvent sélectionner des matériaux en connaissant leur profil environnemental détaillé.
SAP Canada
• Le programme de congé sabbatique social de SAP encourage les employés à participer à des activités de développement avec des ONG.
• Environ 25 % des postes de son conseil de surveillance sont occupés par des femmes — un chiffre qui fait de SAP un des chefs de file de l’industrie.
Accenture
• En 2012, Accenture a destiné presque le tiers de ses dépenses d’approvisionnement à de petites entreprises appartenant à des minorités ou à des femmes, dans le cadre de son programme de diversification des fournisseurs.
• A lancé My Travel Summary (mon résumé de voyage), un tableau de bord intégré au portail personnalisé de ses employés qui les informe sur les émissions de carbone liées à leurs déplacements.
Cisco Systems
• De concert avec l’Alliance mondiale de l’innovation et de la transmission à bande large, travaille à l’implantation de DadaabNet, un réseau Internet haute vitesse destiné à connecter, pour un coût réduit, les ONG, les réfugiés et la population de Dadaab, au Kenya.
• L’une des rares entreprises à divulguer sa politique de minéraux stratégiques. Celle-ci statue notamment que les fournisseurs de Cisco doivent respecter le code de conduite de la Coalition pour la citoyenneté de l’industrie électronique, qui requiert l’assurance raisonnable que le tantale, l’étain, le tungstène et l’or utilisés dans le processus manufacturier proviennent de mines qui n’alimentent pas les conflits armés.
Intel
• A lancé She Will Connect, un programme destiné à améliorer les connaissances numériques de cinq millions de femmes en Afrique, en Inde et en Amérique latine.
• D’ici 2020, Intel s’est donné pour mission de réduire la quantité d’eau utilisée pour chaque puce produite en la ramenant en deçà des niveaux de 2010. La société a investi jusqu’ici plus de 100 millions de dollars dans des programmes de conservation de l’eau, ce qui lui a permis d’en économiser plus de 170 milliards de litres.
Oracle
• A développé un logiciel de comptabilité qui permet de générer des relevés environnementaux pour les programmes de réduction d’émissions.
• Bon nombre de ses installations européennes sont alimentées en totalité par des sources d’énergie renouvelable.
IBM
• A investi 50 millions de dollars dans son programme Des villes plus intelligentes, qui permet de collecter et d’analyser des données dans 100 villes du monde et d’ensuite en conseiller les dirigeants quant aux stratégies à adopter pour améliorer les soins de santé, l’éducation, la sécurité publique et l’efficacité énergétique.
• Depuis 2003, plus de 235 000 employés et retraités d’IBM se sont inscrits à sa communauté en ligne La collectivité à la demande et ont donné plus de 15 millions d’heures de services bénévoles.
PepsiCo
• Grâce à différents partenariats, a atteint son objectif de donner accès à de l’eau salubre à plus de trois millions de personnes dans des pays en voie de développement.
• Son programme d’agriculture durable a fourni un cadre pour mesurer les effets de sa chaîne d’approvisionnement sur l’environnement et l’économie locale.
Molson Coors
• S’est associée avec 12 entreprises majeures de bières et spiritueux afin de réduire la consommation nocive d’alcool. Des campagnes de marketing cibleront pendant cinq ans les problématiques de consommation d’alcool par les mineurs et de conduite avec facultés affaiblies.
• Figure au Canadian Carbon Disclosure Leadership Index. Cette présence témoigne de la transparence de la société, de sa prise en compte des risques liés aux changements climatiques et de son utilisation des données pour mieux comprendre ses émissions de carbone.
Danone
• S’engage à rendre ses produits sains facilement accessibles aux consommateurs à faible revenu et à distribuer des produits enrichis en nutriments dans les régions touchées par la malnutrition.
• Soutient la recherche visant à réduire les émissions de CO2 provenant du bétail par l’introduction de graines de lin dans son régime alimentaire.
Kellogg
• S’est engagée à n’utiliser que de l’huile de palme dont la traçabilité est assurée, et ce, afin d’avoir la certitude de s’approvisionner auprès de plantations responsables sur le plan social et environnemental.
• S’est assurée, depuis 2009, que ses produits publicisés auprès des enfants de moins de 12 ans ne contiennent jamais plus de 200 calories et 12 g de sucre par portion. Parallèlement, l’entreprise n’adresse aucune de ses publicités aux moins de 6 ans.
Tim Hortons
• A organisé une conférence sur le bien-être animal, où elle a fait part des plus récentes recherches sur le sujet. Tim Hortons a pour objectif que tout son porc provienne de porcheries à aire ouverte d’ici 2022.
• En 2013, 3 restaurants Tim Hortons ont obtenu une certification LEED, ce qui porte le total à 17 établissements.
Starbucks
• A mis sur pied un projet-pilote de succursales de service au volant certifiées LEED et construites à partir de conteneurs maritimes récupérés.
• A accordé une bourse d’un million de dollars pour financer LeadersUp, qui aide les jeunes désengagés à intégrer le marché du travail.

Manitoba Telecom Services
• Offre un programme de covoiturage à ses employés et a subventionné 6 000 laissez-passer de transport en commun en 2013.
• Les recettes de ses activités de recyclage des appareils sans fil sont versées à son programme Future First, destiné à l’amélioration des conditions de vie des jeunes Manitobains.
BCE
• A soutenu le périple à vélo de 110 jours de l’athlète olympique Clara Hughes, qui visait à réduire la stigmatisation entourant les maladies mentales.
• A établi un partenariat avec Écotech Québec — la grappe des technologies propres, qui souhaite accélérer le virage vers une économie verte.
Telus
• Ne fait affaire qu’avec des fournisseurs responsables lorsqu’elle filme des animaux pour ses publicités. L’entreprise requiert aussi la présence d’un représentant d’un organisme officiel de défense des animaux, qui veille à ce qu’ils soient traités de façon éthique pendant la production.
• Les nouveaux centres de données de Telus à Rimouski et à Kamloops sont certifiés LEED Or et consomment 80 % moins d’énergie qu’un centre ordinaire de même superficie.
Sony
• S’est fixé l’objectif d’atteindre le niveau zéro d’émissions de gaz à effet de serre pour ses usines, ses bureaux et le cycle de vie de ses produits d’ici 2050. Sony compte y parvenir en continuant de réduire sa consommation d’énergie, tout en recourant de plus en plus aux sources renouvelables.
• Afin de contribuer aux opérations de secours dans les collectivités touchées par le typhon Haiyan aux Philippines, la société a fait un don d’environ 150 000 dollars, en plus de verser une somme équivalente aux dons de ses employés et de livrer 400 radios d’urgence.
Teck Resources
• La fonderie et raffinerie de l’entreprise, située à Trail, en Colombie-Britannique, recycle les déchets électroniques et réutilise les gaz produits comme carburant.
• Afin d’intégrer ses principes de développement durable à tous les niveaux de l’entreprise, Teck inclut les considérations environnementales et sociales dans ses programmes de formation et les objectifs de ses employés.
PotashCorp
• L’une des rares sociétés dont les membres de la direction générale, y compris le directeur financier et le directeur de l’exploitation, participent au comité de développement durable.
• Pour minimiser les impacts environnementaux de l’exploitation minière des phosphates, la société restaure jusqu’à un hectare de milieux humides pour chaque demi-hectare exploité à sa mine d’Aurora et au moins un hectare pour chaque hectare exploité à son installation de White Springs.
Iamgold
• Contrairement à de nombreux producteurs d’or, Iamgold n’est mêlée à aucune controverse importante liée aux relations avec les collectivités, bien que l’entreprise poursuive des activités dans des pays à haut risque. Cet historique favorable est en partie attribuable aux consultations qu’elle a menées auprès des populations locales et à ses programmes de respect des droits de la personne.
• Deux représentants locaux accompagnent l’équipe d’Iamgold lors de ses évaluations trimestrielles pour déceler les éléments non conformes et proposer des mesures correctives à sa mine d’or Rosebel, au Suriname.
Yamana Gold
• Le programme de Développement des fournisseurs de Yamana aide les fournisseurs locaux à comprendre les exigences en santé et sécurité de la compagnie et à exploiter les technologies propres qui maximisent la protection de l’environnement.
• Ses « rencontres citoyennes » donnent aux membres de la collectivité l’occasion d’exprimer leurs soucis relativement à la mine et aux zones avoisinantes.
New Gold
• Les mines de New Gold fonctionnent en circuit fermé, sans évacuation d’eau dans l’environnement. En 2012, l’entreprise a ainsi recyclé 27,3 millions de mètres cubes d’eau — presque cinq fois la quantité qu’elle avait tirée de sources naturelles.
• A conclu des accords de participation et d’exploration avec les communautés autochtones. À la mine de New Afton et au chantier d’exploration de Blackwater, près du quart de la main-d’œuvre est autochtone.
Banque de Montréal
• Première banque à recevoir un prix Or pour les Relations progressistes avec les autochtones, décerné par le Conseil canadien pour le commerce autochtone.
• L’une des rares banques à refuser de financer les fabricants d’armes controversées prohibées en vertu de traités ratifiés par le Canada et les États-Unis.
Banque Royale du Canada
• A mis sur pied le fonds Générateur RBC, visant à financer des entreprises qui s’attaquent aux problèmes sociaux et environnementaux tout en générant un rendement financier à long terme.
• A fait l’annonce de la promesse de don Les jeunes, j’y crois, d’une valeur de 100 millions de dollars, qui soutient des programmes jeunesse.
Groupe Banque TD
• A émis pour 500 millions de dollars d’obligations vertes TD, qui soutiennent des projets contribuant à une économie à faibles émissions de carbone.
• Le nouveau concept de succursale durable et écoénergétique TD promet d’être 45 % plus efficace énergétiquement qu’une succursale traditionnelle.
Vancity (coopérative d’épargne et de crédit de Vancouver)
• La première institution financière au Canada à mesurer ses répercussions sur « les gens, l’environnement et les rendements » à l’aide de paramètres non financiers, dont le bien-être des clients, tout en considérant les paramètres financiers habituels.

• A soutenu 23 marchés fermiers avec un programme de bourses qui a pour but de fournir des produits biologiques et locaux aux collectivités de la région métropolitaine de Vancouver.
Groupe Co-operators
• A commencé à approvisionner six de ses bureaux en énergie renouvelable à 100 %.
• A sondé les dirigeants des compagnies d’assurances canadiennes sur les défis liés aux événements climatiques extrêmes, afin d’améliorer l’accès des Canadiens aux assurances en cas d’inondation.
Mouvement Desjardins
• A investi plus de 60 millions de dollars pour la construction, en Ontario, du plus grand parc solaire du Canada.
• Certaines cartes de crédit Visa Desjardins permettent aux titulaires de verser un pourcentage de chaque achat à des organismes à vocation environnementale ou sociale, comme Amnistie Internationale et Oxfam-Québec.
Bombardier
• A rédigé la première déclaration environnementale de produit de l’aérospatiale, pour rendre public le profil environnemental de ses avions commerciaux CSeries.
• A conçu avec ses partenaires de consortium le système léger sur rail du Metro do Porto, au Portugal, qui a gagné en 2013 le Prix vert Veronica Rudge de design urbain, de l’Université Harvard.
3M
• Évalue les impacts environnementaux et énergétiques sur toute la chaîne de valeur de beaucoup de ses produits, de l’acquisition des matières premières jusqu’à la fin de vie en passant par la fabrication et l’utilisation.
• A conçu Novec 1230, premier liquide de répression d’incendie à faible toxicité aiguë, haute efficacité d’extinction et potentiel nul de dégradation de la couche d’ozone.
General Electric
• Par son programme Ecomagination, a investi 12 milliards de dollars dans les technologies propres depuis 2005.
• A conçu une nouvelle membrane pour la purification et la réutilisation de l’eau difficile à traiter dans les industries et les régions du monde touchées par des pénuries d’eau.
Philips Électronique
• Lauréat du prix de Gestion responsable de la chaîne d’approvisionnement 2013 remis par VBDO, une association néerlandaise d’investisseurs en développement durable. La société a été saluée pour son engagement à améliorer la performance de ses fournisseurs en matière de développement durable.
• Commanditaire principal de l’Année internationale de la lumière, de l’Unesco, en 2015, qui vise à sensibiliser le public aux technologies durables fondées sur la lumière et aux solutions aux défis mondiaux en matière d’énergie.
Siemens
• Signataire du CEO Water Mandate (mandat sur l’eau) du Pacte mondial des Nations unies, elle a énoncé différents objectifs régionaux liés à l’eau et adaptés aux risques locaux, tels que les inondations, la sécheresse et les infrastructures de mauvaise qualité.
• En partenariat avec Énergie NB, l’établissement de Siemens Canada à Fredericton accueille le Centre de compétence sur le réseau intelligent, qui vise à améliorer la maîtrise qu’ont les entreprises et les particuliers sur leur consommation d’énergie.
MÉTHODOLOGIE
Les 50 entreprises de ce palmarès ont été sélectionnées pour leur rendement global, calculé selon un ensemble de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance analysés par Sustainalytics. Les sociétés choisies sont les meilleures de leur secteur, d’après la plateforme de recherche de Sustainalytics. Elles font montre de solides résultats en matière de préservation de l’environnement, d’effets positifs pour les collectivités locales, de politiques sociales et d’attention portée à leurs chaînes d’approvisionnement. Certaines se distinguent par leur offre de produits et services placée sous le signe du développement durable. Les entreprises doivent également faire preuve d’un degré élevé de transparence et de communication. Elles ont également été passées au crible de la méthode d’analyse des controverses de Sustainalytics, afin de déterminer leur degré de responsabilité dans des incidents majeurs de nature environnementale, sociale ou de gouvernance.
Chaque entreprise citée est cotée en Bourse au Canada ou est une filiale entièrement détenue par une entreprise étrangère disposant d’une présence importante au Canada. Les entreprises doivent par ailleurs atteindre une capitalisation boursière notable, représenter des marques reconnues au pays et faire partie d’au moins une des listes suivantes : Report on Business Top 1000, Report on Business 350, les 20 plus importantes coopératives et caisses de crédit du Globe and Mail, Best Canadian Brands ou Best Global Brands, d’Interbrand. Étant donné les liens structurels entre les filiales canadiennes et les groupes étrangers auxquels elles appartiennent, le score présenté est celui de la société mère.
La méthodologie repose sur une analyse de données issues des publications des entreprises, des médias, de bases de données professionnelles d’information, de sources publiques, d’ONG et de contacts directs avec les entreprises et leurs parties prenantes. Les analystes utilisent l’approche Best-of-Sector pour comparer entre elles les sociétés d’un secteur en particulier. La recherche de Sustainalytics est utilisée par certains des plus grands investisseurs institutionnels ou privés au monde.
Auteurs de la recherche : Matthew Barg, Sophia Burress, Melissa Chase, Bobby Chiu, Roxana Dobre, Bowen Gu, Alina Huza, Kyuwon Kim, Arne Klug, Heather Lang, Philip MacKellar, Kate Marshall, Florentina Onisor, Sheila Oviedo, Jungho Park, Jennifer Penikett, Luke Raftis, Hardik Sanjay Shah, Alberto Serna Martin, Irene Sosa, Esther Tsang, Annie White.
Le magazine papier fournit un lien pour consulter la méthodologie, mais le lien ne fonctionne pas. Ici, il n’y a pas de lien. Curieux. Je vais aller
Sustainalytics….
RÉPONSE DE L’ACTUALITÉ :
Le lien fonctionne maintenant (désolé pour cet oubli) ; en fait, vous trouverez la méthodologie complète à la toute fin de cet article «Palmarès des entreprises citoyennes 2014 : les 50 championnes». Merci de nous avoir fait signe !