
Kinark Child and Family Services, un des plus importants organismes de services à l’enfance et à la famille de l’Ontario, ne correspond pas à l’image type que l’on se fait du pionnier de la technologie.
L’organisation vient en aide à plus de 10 000 enfants chaque année, dans 41 établissements de la province. Sa vaste expertise couvre des domaines tels que la santé mentale, la justice pour les jeunes et le trouble du spectre de l’autisme.
Kinark, qui souhaitait évoluer pour répondre aux besoins croissants de sa clientèle, s’est trouvée confrontée à une technologie obsolète : des systèmes informatiques incompatibles, des dossiers papier, des procédés exigeant une forte main-d’œuvre… Les techniciens de services à l’enfance, par exemple, devaient accéder à la fois à des systèmes manuels et électroniques pour enregistrer un enfant avant de pouvoir lui prodiguer des services essentiels.
« Nous avions un bric-à-brac d’infrastructures qui nous empêchaient d’aller de l’avant en tant qu’organisation. Il était temps de nous livrer à une introspection, de faire le point sur nos besoins technologiques et de développer une vision claire pour l’avenir », explique Karim Ramji, chef du service informatique de Kinark.
Kinark n’est pas la seule organisation canadienne à se rendre compte de la nécessité de passer au numérique. Petites et grandes entreprises cherchent à se connecter pour rester concurrentielles dans un monde où la technologie transforme rapidement les façons de faire.
Et le temps presse! Un récent sondage réalisé par PwC révèle que 62 % des dirigeants s’attendent à ce que leurs activités soient perturbées par les nouveautés numériques dans les cinq prochaines années. De son côté, la firme-conseil en innovation, Innosight, prédit qu’au rythme auquel les technologies numériques bouleversent le marché, environ la moitié des entreprises du S&P 500 seront remplacées au cours des 10 prochaines années.
Mais qu’est-ce que la transformation numérique (aussi appelée virage numérique) et pourquoi les chefs d’entreprises doivent-ils y prêter attention?
« La transformation numérique ne consiste pas à automatiser les processus actuels, mais plutôt à exploiter tout le potentiel de la technologie pour créer de nouvelles façons de faire », explique Benoit Simard, vice-président, TELUS Solutions d’affaires Est du Canada – Marketing, stratégie et planification.
D’un point de vue plus technique, il s’agit de l’adoption de technologies avancées de troisième plateforme – telles que les services mobiles et infonuagiques (cloud), les mégas données, les réseaux sociaux, les outils de collaboration et l’Internet des objets (IdO) – qui nous poussent à repenser les processus opérationnels ou, dans certains cas, à reconsidérer les modèles commerciaux ce qui a pour effet de bouleverser l’industrie.
Les avantages de la transformation numérique sont nombreux : efficacité accrue, meilleur service à la clientèle, coûts optimisés, cybersécurité perfectionnée et innovation accélérée. Selon IDC Canada, les premières sociétés converties ont signalé que les investissements consacrés en priorité au virage numérique ont permis d’augmenter la rentabilité de 40 % par rapport aux investissements informatiques traditionnels.
La nécessité d’un changement radical devient de plus en plus imminente. Une récente étude de TELUS a révélé que 75 % des entreprises canadiennes sont en cours de transformation numérique, soit au stade de l’exploration ou à l’étape du développement. IDC Canada a également constaté que parmi les sociétés prenant le virage numérique, des plans budgétaires ont été mis en place pour augmenter les dépenses consacrées aux technologies numériques de la prochaine génération, les faisant passer de 30 % en 2016 à 42 % d’ici 2019.
Pour les entreprises d’aujourd’hui qui font face à l’évolution effrénée du progrès technologique, demeurer à la fine pointe de l’innovation peut sembler intimidant. À cet effet, Benoit Simard rappelle que la transformation numérique ne s’arrêtera jamais.
Aux dirigeants qui cherchent à enclencher une transformation numérique au sein de leur propre organisation, il recommande cinq étapes clés :
1. Créer une vision numérique
Demandez-vous : « Quelle est ma vision pour l’avenir de mon entreprise? » Il ne s’agit pas nécessairement d’un plan directeur détaillé, mais plutôt d’une feuille de route sur la manière dont la technologie peut aider votre organisation à travailler plus efficacement.
2. Commencer petit
Entamez la transformation de votre entreprise avec un projet pilote modeste qui éprouvera votre plan tout en minimisant les risques. Engagez des équipes interfonctionnelles pour identifier un projet qui entraînera des changements significatifs, puis testez-le à répétition et développez-le.
3. Cultiver le soutien interne
N’imposez pas de stratégie; obtenez plutôt l’appui du personnel. Trouvez des champions de projet au sein de l’organisation qui peuvent non seulement vendre le concept aux membres de votre CA, mais également encourager l’adoption des mesures à venir auprès de vos employés. Écoutez les idées et expliquez ce qu’est la transformation numérique dans un langage non technique, en mettant l’accent sur les avantages commerciaux tangibles.
4. Encourager la collaboration entre équipes
Favorisez les échanges entre vos experts en TI et les employés d’autres unités d’affaires afin qu’ils puissent discuter, formellement ou non, d’éventuelles améliorations à apporter à la façon dont le travail est effectué. « En somme, voyez votre entreprise non pas comme des agencements d’unités fonctionnelles, mais plutôt comme un pôle d’innovation. Regroupez des personnes de différentes expertises, vous ferez émerger de nouvelles idées », explique Benoit Simard.
5. Établir des partenariats judicieux
Associez-vous à des partenaires possédant des compétences approfondies et pouvant vous fournir des solutions numériques évolutives et prêtes à l’utilisation. Recherchez des services intégrés tels que l’Espace d’affaires intelligent de TELUS – une plateforme de technologie à la demande basée sur le nuage qui offre une suite d’outils de collaboration et de réseautage. Vous pourrez ainsi externaliser les risques de déploiement et étendre les mesures vers des opérations à l’échelle de l’entreprise au fur et à mesure que votre projet pilote évolue.
Pour Kinark, la transformation numérique a débuté par une série de projets implantés par TELUS pour relier les personnes, les processus et les données en un seul endroit, ce qui permettra de prendre plus rapidement des décisions éclairées et factuelles quant aux soins à prodiguer aux enfants.
Grâce à une stratégie pluriannuelle englobant des technologies telles que l’infonuagique, la cybersécurité, la veille économique et l’IdO, Kinark s’est associée à TELUS pour se réinventer et améliorer considérablement son expérience client. L’objectif est de mettre en place des solutions infonuagiques et sans infrastructure, de garantir la certitude des coûts informatiques et d’offrir une expérience technologique sécurisée et transparente à tous les niveaux, de la planification au traitement de la paie, en passant par l’analyse des données et la gestion de la clientèle.
Pour Karim Ramji, la transformation numérique est nécessaire pour assurer l’avenir de l’organisation et, surtout, des jeunes qu’elle sert. « Les enfants et les jeunes sont au centre de tout ce que nous faisons », précise-t-il. « Être un chef de file du virage numérique avec des partenaires solides contribue à stimuler l’innovation et à assurer une plus grande certitude des coûts au sein de notre organisation. Cela nous permet d’offrir de meilleurs soins à nos clients et, plus important encore, d’aider les enfants et les jeunes ayant des besoins complexes à améliorer leur qualité de vie. »
Voyez à quelle étape votre entreprise se trouve sur le chemin de la transformation numérique. Faites une évaluation en ligne gratuite et recevez un rapport de référence en temps réel pour savoir où vous vous situez par rapport aux autres entreprises canadiennes.
telus.com/transformationnumerique
Ce contenu a été produit par Mishmash Studio de marques en collaboration avec l’annonceur. Les journalistes de L’actualité n’ont joué aucun rôle dans la production de ce contenu.
Bien entendu les entreprises doivent prendre le virage numérique mais pas uniquement au niveau de la gestion ou de la production, il faut aussi qu’elles excellent en marketing numérique qui regroupe 3 activités: le SEO, le SEA et les réseaux sociaux, le tout devant être harmonisé grâce à une stratégie cohérente tel que détaillé ici par une entreprise québécoise: http://www.challenge-action.com/marketing-numerique-electronique-digital/
Ce qui inclus bien sûr spammer des forums de discussion avec de la pub pour sa propre firme. Bravo! Belle maîtrise du marketing…