La fin des jobines
Des milliers de Québécois qui travaillaient dans des restos, des hôtels, des usines ou des magasins ont profité de la pandémie pour se réorienter. Cet exode mènera-t-il à la disparition des petits boulots difficiles et mal payés ? Et quel avenir attend les entreprises dont le modèle d’affaires repose sur une main-d’œuvre bon marché ?