Baptême de glace
Un porte-conteneurs du géant mondial du transport maritime Maersk a franchi le passage du Nord-Est cet automne, une première rendue possible par le réchauffement climatique.
À l’image du passage du Nord-Ouest dans l’Arctique canadien, le passage du Nord-Est, au nord de la Russie, est désormais libre de glaces quelques mois par année. Le Venta Maersk a ainsi pu relier Vladivostok et Saint-Pétersbourg en 28 jours, soit près d’une semaine de moins que par le trajet habituel, qui emprunte le canal de Suez, en Égypte.
Ce trajet constituait un test pour Maersk, qui a déjà annoncé ne pas vouloir répéter l’expérience à court terme, le gain de temps ne compensant pas les risques et les coûts associés à l’absence d’infrastructures et à la nécessité d’être accompagné d’un brise-glace.
Les ours polaires n’ont toutefois pas fini de voir défiler des navires. Le passage est déjà utilisé par des bateaux de croisière, ainsi que par des pétroliers de l’armateur chinois Cosco.
***

Mi-drone, mi-satellite
Jamais un drone n’était resté en vol aussi longtemps : 25 jours, 23 heures et 57 minutes. Le record, établi cet été par le modèle Zephyr S, ne durera toutefois pas longtemps. Grâce aux capteurs solaires installés sur ses ailes d’une envergure de 25 m, le petit avion sans pilote peut demeurer dans les airs pendant des mois, assure son fabricant, Airbus. Cette autonomie, combinée à une altitude de croisière de 21 km — loin au-dessus du trafic aérien —, permettra au Zephyr S de jouer le rôle d’un satellite pour une fraction du coût. Il pourrait par exemple relayer des communications en zone de guerre, surveiller des frontières ou suivre l’évolution d’un feu de forêt.
Fait particulier, Airbus ne vendra pas le Zephyr S. Le géant protège jalousement les avancées technologiques de son drone solaire, et fera donc fonctionner lui-même les appareils pour ses clients, depuis une base en Australie qui ouvrira sous peu.
***

Petit numéro, gros prix
Une Mercedes 2003 s’est vendue 420 000 dollars dans une enchère au Delaware en août dernier. Ce qui intéressait l’acheteur n’était toutefois pas le véhicule, dont la valeur était de 6 800 dollars, mais sa plaque d’immatriculation, qui se lit comme suit : 20. Au Delaware, les plaques avec de petits numéros sont très recherchées. En posséder une signifie que vous habitez dans l’État depuis très longtemps… ou que vous êtes riche.
Cet article a été publié dans le numéro de décembre 2018 de L’actualité.
Petit numéro, gros prix… gros ego!
Quand on pense qu’il existe des gens en ce moment même qui meurent littéralement de faim et d’autres qui peinent à trouver de l’eau potable.
Autant l’humain est extraordinaire, autant parfois il me désespère.
La plaque à $420,000. états-uniens et donc plus du demi-million canadien, devrait-être accompagnée d’une taxe « spéciale » équivalent à 100% du prix payé.
Comme bien d’autres choses d’ailleurs?
Dommage que nos taxes sont trop souvent utilisées de la mauvaise façon, et que les services offerts par nos gouvernements sont également trop souvent accompagnés de coûts inutiles, certainement pas toujours nécessaires, et « d’à côté » de toutes sortes en plus d’un fonctionnement dès le départ lourd et coûteux!
Peut-être que ses espèces de « taxes spéciales » pourraient servir pour des services dédiés?
Ses services dédiés pourraient peut-être être administrés et avoir à son emploi surtout des gens à temps partiel et des bénévoles, acceptant de travailler à des salaires déterminés qui ne pourraient servir à un très grand enrichissement pour que l’argent collecté servent le plus possible à ce qu’il est dédié. Et ça ne devrait jamais être remis ou encore administré par des fondations à moins de leurs refontes complète et stricte. Trop de fondations sont des nids légaux à sauver des impôts avec peu d’investissement et même à cacher de l’argent « sale »… et à quoi d’autres.
@ SirDecelles:
( ¨ que ses espèces ¨ ¨ que ses espèces de « taxes spéciales » ¨) ??? — ¨Ses¨ est un adjectif possessif (mes, tes, ses comme dans mes affaires, tes affaires , ses affaires à lui) alors que ¨Ces¨ est un adjectif démonstratif que l’on peut remplacer par ¨cela ou ceci¨.
Dans votre texte, il faut employer l’adjectif démonstratif ¨Ces¨…
Petite remarque comme ça en passant, on se comprend mieux ainsi.
Bonne journée.
C. d’Anjou,
« Petite remarque comme ça en passant, on se comprend mieux ainsi. »
Vraiment?
J’en doute!
Je doute surtout qu’il soit nécessaire d’écrire « ces » à la place de « ses » pour se comprendre et comprendre çe, ce ou se texte.
J’ajouterez maîme que çe, se ou ce n’ait absolumand pas nezsesçaires à l’expression de nos idées, ici ou ailleurs dans ce genre de forum.
Je trouve votre attitude très condescendante, inutilement.
Si vous décidiez à ainsi vouloir corriger et surtout à faire la leçon de français à tous et pour tout les textes que vous lisez ici et ailleurs, il ne vous resterait plus une seule seconde pour dormir.
Baissez donc votre nez au niveau de la majorité, si votre intention n’était que d’aider, ce que je ne crois pas, car nous ne sommes pas ici au niveau de l’utilisation adéquate des mots mais à nos versions personnelles de ce que les maux de l’actualité nous inspirent!
@ SirDecelles
Juste par votre réplique, ¨ Baissez donc votre nez au niveau de la majorité ¨ , je vois que vous êtes du genre à niveler vers le bas; alors je ne suis pas surpris de votre réponse. Si tout le monde pensait comme vous, monsieur, il y a longtemps que notre langue, notre peuple auraient été assimilés, qu’on parlerait tous anglais, ou encore l’arabe ou le cantonnais. Quand on aime notre langue, monsieur, on fait des efforts pour la respecter et ce n’est en faisant comme vous, monsieur, se contenter du minimum en pensant que tout le monde va comprendre pareil. La tour de Babel, vous connaissez ??? J’en doute !
Alors, je termine ici mon intervention, et quoique vous fassiez comme réplique, je m’en tape aller-retour.
C d’Anjou,
J’adore vos conclusions.
Une chose est certaine, c’est que j’ai beaucoup plus de respect pour ma langue que j’en ai pour vous, si, si vous êtes dans la vie ce que vous dégagez par vos deux interventions…
J’ai dans ma vie eu à superviser à divers niveaux toutes sortes de gens à partir de ceux n’ayant fait que quelques années d’études au primaire jusqu’à des professionnels de haut niveaux. Je n’ai jamais réclamé ma supériorité à quelques niveaux sur quiconque à part lorsque c’était requis pour faire accomplir mes directives et certainement pas au niveau des détails sur la façon de dire ou d’écrire des gens, même au nom du soi disant respect de la langue puisque je n’étais pas là pour enseigner les matières académiques aux employés mais pour espérer dans un esprit de collaboration le plus souvent que possible d’égal à égal sans distinction à nos responsabilités propres dans le but final, de tous contribuer ensemble à faire un travail efficace, sans percevoir de pressions inutiles surtout en s’attardant à des détails pour y arriver et comme on le dirait aujourd’hui: « sans rapport » et surtout dans le respect des compétences de chacun.
J’habite un complexe immobilier composé de plusieurs centaines de personnes âgées dont près de 50% sont anglophones ou allophones, dont nombreux sont de ces dernières qui parlent peu le français ou l’anglais. Je préfère communiquer tant bien que mal avec le plus grand nombre, et même avec des francophones qui ne s’expriment pas « aussi bien que moi » que de risquer d’éloigner quiconque pour une scie ou une saw.
Surtout pour celui qui se croit supérieur, sa compréhension devrait être d’autant plus grande que ses croyances! Et à cause de cela il devrait tendre encore plus à l’humilité et le respect dans la discrétion de l’expression de sa soi-disant supériorité.
Et tout en maintenant ce que j’en ai dit dans mon autre commentaire, je rajouterai monsieur, que maintenant avec l’assurance que m’inspire votre réplique, je vous inviterais une nouvelle fois, à rester poli, à éviter la condescendance et les leçons inutiles, à demeurer respectueux en répliquant aux commentaires dans un forum comme celui-ci et d’apprécier ou non les idées en mettant de côté la forme et surtout la syntaxe.
Rappeler à l’auteur d’un billet ses obligations quant à sa forme et à son niveau de « respect de la langue » est une chose, mais rappeler les mêmes obligations à quiconque fait une ou deux erreurs ou quelques phôtes de franssais est inadmissible.
Votre intervention me rappelle très exactement les parents d’une certaine époque et dont plusieurs exemplaires existent certainement encore, qui lors d’une demande ne répondaient en rien à la demande, sous le prétexte de la forme utilisée ou que le « s’il vous plait papa (ou maman, grand papa et le reste, ou à l’école « monsieur le directeur ») avait été oublié! Au fond, n’exprimaient-ils pas seulement leurs incompétences et leurs mépris? Il me semble que ça doit bien faire une centaine d’années que ses pratiques ne devraient plus exister! J’ai 69 ans. Et vous, avez-vous 150 ans? Si c’est le cas, ça se comprend!
Votre dernière mise en garde étant tout aussi irrespectueuse que le reste de votre intervention n’a pas influencé mon choix de répliquer ou non.
Et vous en ferez bien ce que vous en voudrez!
C d’Anjou
Malgré tout ce qui a été écrit vous avez piqué ma curiosité et mon souci à ne pas que ou toujours niveler par le bas, comme vous l’avez affirmé et malgré ce que vous avez affirmé, surtout pas pour vous faire plaisir, mais pour mieux me contenter, j’ai donc soumis le texte concerné à Antidote HD. Il a apporté à mon attention 18 points à considérer, dont 1 seule faute de grammaire. Il n’a absolument rien suggéré concernant « ses » que vous m’avez si « gentiment et respectueusement » souligné.
Puisque que j’aie douté souvent que ce logiciel pût toujours suggérer les bonnes corrections ou même ne pas le faire du tout en tenant compte avec justesse du contexte, je m’en passe maintenant la majorité du temps.
C’est sans me plaindre d’avoir constaté aussi des erreurs lors du recopiage automatique des textes à corriger et surtout corrigé.
¨ Fait particulier, Airbus ne vendra pas le Zephyr S. Le géant protège jalousement les avancées technologiques de son drone solaire, et fera donc fonctionner lui-même les appareils pour ses clients, depuis une base en Australie qui ouvrira sous peu. ¨ Et de quels clients parle-t-on ici ?
Quand on parle de ¨ zone de guerre, surveiller des frontières ou suivre l’évolution d’un feu de forêt ¨, ça ressemble dangereusement à des intérêts financiers à très grande échelle. Quand on parle de guerre, on parle automatiquement d’armes, et quand on parle d’armes, on parle de souffrance humaine, et tout ça pourquoi ??? Pour enrichir encore davantage ceux qui n’en ont plus du tout besoin ! Ce ne sont pas les petits peuples qui sont en train de tirer la ¨plug¨ de notre planète, ce sont ces gros ¨tout-puissants¨. Que j’aimerais donc croire qu’un dieu vengeur existe réellement… ce serait trop beau !