États-Unis

Notre chroniqueur regrette de ne pas vous avoir ouvert les yeux plus tôt sur cet acteur central de la crise économique mondiale qui se dessine.

La liberté d’expression passe un sale quart d’heure aux États-Unis. Les attaques à son endroit viennent de partout, de la gauche comme de la droite.

Bien que l’Ukraine jouisse d’un large soutien du Canada et des pays européens, ce sont les États-Unis qui lui permettent réellement de résister à l’envahisseur. Et les électeurs de ce pays.

L’Occident dit chercher à éviter l’escalade avec la Russie dans le conflit ukrainien. Or, elle se déroule sous nos yeux, sans qu’on s’en rende compte. Et éloigne la possibilité d’une fin dans la concorde.

Enivrés par leur « victoire morale » de l’automne dernier aux élections de mi-mandat, les démocrates restent aveugles aux périls qu’encourt leur président pour sa réélection en 2024.

Elle est brillante, a du charisme, présente un parcours politique plutôt impressionnant, en plus d’être issue des minorités visibles. Nikki Haley aura malgré tout fort à faire pour convaincre les républicains de la choisir comme candidate à la présidence.

Les partisans républicains du n’importe-qui-sauf-Trump sont en train de reproduire la même erreur qu’en 2016 à l’aube de la prochaine saison d’investiture d’un candidat à la présidence. Donald doit se marrer.

Un président libidineux, des procureurs républicains prêts à tout pour prendre les Clinton en défaut et, au milieu, une jeune stagiaire de 21 ans. Jamais peut-être un adultère n’a-t-il eu autant d’incidence sur le cours de l’histoire.

Le budget militaire des États-Unis dépasse celui du gouvernement du Canada au grand complet. Plus de 1 000 milliards de dollars américains pour faire la guerre… et de l’argent.