La société américaine s’est peu à peu atomisée, au point de découdre tout son tissu social autrefois caractérisé par une forte solidarité. Un bon classique des films de Noël pourrait lui réapprendre le vivre-ensemble.
Faire le pitre en public a souvent joué en faveur de Donald Trump depuis qu’il est actif en politique. Mais l’accumulation de ses faits et gestes douteux commence à peser.
Il y a 10 ans cette semaine, deux États américains légalisaient le cannabis. Depuis, même dans les régions les plus conservatrices, la marijuana est devenue un produit de consommation comme un autre, bien que son commerce demeure un crime fédéral.
Depuis sa candidature à l’investiture démocrate en 2020, Joe Biden porte son âge comme un handicap. Maintenant qu’il est octogénaire, ce nouveau statut pourrait plutôt lui servir de tremplin.
L’ampleur du désastre signé Trump aux élections de mi-mandat et l’éclat de la victoire des quelques candidats républicains qui ont osé s’en distancier ouvrent un tout nouveau chapitre du psychodrame qui se joue dans le Grand Old Party depuis 2015.
Le scrutin du 8 novembre aura été riche en rebondissements et en surprises, certaines agréables pour les démocrates et amères pour les républicains. Toutefois, ceux qui cherchent à chasser le magnat de l’immobilier de leur parti voient un bon côté à ces résultats…
Malgré quelques espoirs, nourris par la turpitude républicaine, les démocrates ne pourront réaliser l’exploit de contrer la nature des élections de mi-mandat.
Un des républicains les plus respectés et dont l’avenir politique était assuré pour longtemps préfère quitter son poste plutôt que de devoir composer avec les trumpistes.
Alors que les États-Unis soulignent les 60 ans de la crise des missiles de Cuba, la menace nucléaire retentit à nouveau, en raison de l’invasion russe en Ukraine. Les décideurs auront-ils la sagesse d’éviter le pire encore une fois ?
Des candidats républicains inexpérimentés, choisis pour leur loyauté envers Donald Trump, sont moins populaires que prévu auprès de l’électorat. À un mois du scrutin, notre collaborateur Rafael Jacob y voit une lueur d’espoir pour les Démocrates.
L’ex-président américain place ses pions en vue des élections de mi-mandat qui se dérouleront en novembre. En jeu : la mainmise sur la Chambre des représentants et le Sénat, et une emprise sur la prochaine présidentielle.