Depuis la suppression de la protection fédérale du droit à l’avortement par la Cour suprême, en juin, les démocrates ont le vent en poupe. Est-ce une coïncidence ? Peut-être pas…
Contre toute attente, les élections de mi-mandat de novembre prochain s’annoncent pas mal plus serrées que prévu, voire favorables aux démocrates, malgré la grande impopularité du président Biden. Et ça s’explique.
Le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis, a tout pour être le candidat républicain à la présidence en 2024. Mais il y a Trump. Si DeSantis souhaite attendre jusqu’en 2028, il devra se souvenir de l’histoire de Chris Christie.
L’agence policière doit dévoiler rapidement les raisons de la perquisition à Mar-a-Lago, sans quoi les partisans de Donald Trump retrouveront leur fougue de janvier 2021.
Il y a 50 ans ce mois-ci éclatait le scandale du Watergate. Les comparaisons avec la commission d’enquête sur l’insurrection au Capitole ne peuvent que semer l’inquiétude.
La semaine passée a été marquée par une série de catastrophes météorologiques aux États-Unis, provoquées par les changements climatiques. Mais c’est le prix de l’essence qui retient l’attention.
Le président américain a beau faire de la lutte contre les autocraties une priorité, la realpolitik le rattrape toujours, notamment cette semaine au Sommet des Amériques.
Ce n’est pas l’assassinat de 19 enfants âgés de 9 à 11 ans, et de deux de leurs enseignantes, qui va atténuer la peur morbide qu’éprouvent certains élus et leurs électeurs à l’égard de mesures plus strictes concernant les armes à feu.
Le 45e président des États-Unis prépare méticuleusement sa vengeance alors que le Parti républicain choisit ses candidats pour les élections législatives de mi-mandat, qui auront lieu en novembre. Des gains nets, mais quelques taloches aussi…
Le Parti républicain attire parfois des candidats pour le moins douteux, comme ceux qui ont déjà coulé le parti lors de rendez-vous électoraux passés. Auront-ils le même effet en 2022 ?
Malgré les conséquences réelles sur la santé des femmes d’une décision de la Cour suprême défavorable au droit à l’avortement, l’enjeu semble peu émouvoir l’électorat américain.
Ce n’est pas la fin de l’avortement qu’annonce le brouillon d’une décision de la Cour suprême des États-Unis qui a fuité dans les médias, mais le début d’un cycle interminable de luttes politiques et judiciaires.