Les soucis géopolitiques et économiques actuels des États-Unis ne sont pas tant la faute des Biden, Trump ou Obama. Ils représentent davantage l’héritage empoisonné de l’administration Bush fils/Cheney.
Les Français ne sont pas de bonne humeur. Pouvoir d’achat, retraites, filet social, climat, immigration, tout est sujet de grogne et d’inquiétude pour l’avenir de la patrie. Les candidats à la présidence ne peuvent en faire abstraction.
Notre collaborateur est retourné en Afghanistan en décembre 2021, après y avoir fait un séjour à l’été. Il y a rencontré des talibans triomphants, des parents qui peinent à nourrir leurs enfants, et des habitants terrifiés quant à leur avenir.
La position des États-Unis face à la Russie dans le dossier ukrainien risque de souffrir de la dépendance de leurs alliés européens au gaz naturel russe.
À trop vouloir faire preuve d’ambition, le président a oublié que les Américains ne lui en demandaient pas tant. Et il a négligé de s’occuper des menaces immédiates.
Le président de la Fed devra décider s’il entame un cycle haussier de son taux directeur. Sa réflexion suscite de l’intérêt dans l’entourage de Joe Biden, car le résultat pourrait avoir des effets politiques considérables.
Comment la droite riche et puissante a-t-elle réussi à rallier les classes ouvrières, malgré des intérêts plus que divergents ? Une étude dirigée par trois économistes l’explique.
Le président Biden a fait campagne en faveur d’un grand virage vert, mais aujourd’hui, un pipeline canadien et des prix de l’essence en hausse le ramènent à se soucier plus de l’automobiliste que de la nature.
Pour protester contre des sanctions imposées par l’Union européenne, la Biélorussie met de la pression sur la Pologne, qui résiste. Et des milliers de migrants sont pris entre les deux.