Monde

L’ambassadeur des États-Unis au Canada, David L. Cohen, a reçu le mandat de reconstruire les ponts détruits entre les deux pays par l’administration américaine précédente. Et l’avenir de cette relation, il le voit passer par le Québec. Entrevue.

L’attente a été longue avant qu’un président américain daigne faire une visite officielle à Ottawa depuis celle de Barack Obama en juin 2016. Pourvu que ça ne se termine pas par un retentissant « Viva la Canada »…

En reportage près de Bakhmout, en Ukraine, notre collaborateur Fabrice de Pierrebourg a suivi des policiers qui tâchent de convaincre des habitants pris sous les bombes de quitter leur maison.

Notre chroniqueur regrette de ne pas vous avoir ouvert les yeux plus tôt sur cet acteur central de la crise économique mondiale qui se dessine.

La liberté d’expression passe un sale quart d’heure aux États-Unis. Les attaques à son endroit viennent de partout, de la gauche comme de la droite.

L’expert en affaires internationales et collaborateur de L’actualité Jocelyn Coulon publie, ce 2 mars, l’essai Ma France, au sujet d’un pays qu’il a visité de nombreuses fois et qui le fascine depuis l’enfance, en raison de ses origines paternelles. Extrait d’un chapitre portant sur le passé colonialiste de l’Hexagone.

Vingt ans après l’invasion de l’Irak, les États-Unis paient encore le prix de cette opération désastreuse. Décryptage de notre collaborateur Rafael Jacob.

En s’enlisant, l’invasion par la Russie de son voisin semble pousser la plupart des puissances émergentes au désintéressement du sort de l’Ukraine. Mais pourquoi ?

Bien que l’Ukraine jouisse d’un large soutien du Canada et des pays européens, ce sont les États-Unis qui lui permettent réellement de résister à l’envahisseur. Et les électeurs de ce pays.

L’Occident dit chercher à éviter l’escalade avec la Russie dans le conflit ukrainien. Or, elle se déroule sous nos yeux, sans qu’on s’en rende compte. Et éloigne la possibilité d’une fin dans la concorde.

Ce devrait être l’échec pour Poutine, il est pourtant solidement à la barre. Mais la vie au Kremlin n’est pas un long fleuve tranquille, rappelle notre collaboratrice Paule Robitaille.

Enivrés par leur « victoire morale » de l’automne dernier aux élections de mi-mandat, les démocrates restent aveugles aux périls qu’encourt leur président pour sa réélection en 2024.