Dialogue social sur la modulation des tarifs de CPE

Pier-André Bouchard St. Amant, économiste et ex-président de la FEUQ, Jocelyn Maclure, prof de philosophie à l’Université Laval, et Jérôme Lussier débattent du projet libéral.

Photo: Ian Barrett/La Presse Canadienne
Photo: Ian Barrett/La Presse Canadienne
Politique

En réaction à un article traitant de la possibilité que le gouvernement propose une modulation des tarifs de CPE, une discussion animée s’est amorcée hier sur la page Facebook d’une amie.

J’en reproduis ici quelques extraits. L’échange fait notamment intervenir Pier-André Bouchard St. Amant, économiste et ex-président de la FEUQ, Jocelyn Maclure, prof de philosophie à l’Université Laval, et moi-même.

Je suis convaincu que les idées de tous les intervenants à ce court échange pourraient être développées plus en détail dans un autre contexte, mais le format Facebook s’y prête évidemment assez mal. Cela dit, le débat m’a semblé intéressant comme point de départ pour une discussion plus approfondie des enjeux entourant la modulation des tarifs.

(Compléments à propos des impôts et de la charge fiscale comparée du Québec: ici et ici)

J’ajoute quelques liens en terminant :

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À propos de Jérôme Lussier

Jérôme Lussier est juriste et journaliste. Au cours des dernières années, il a notamment travaillé à Radio-Canada et tenu un blogue au journal Voir, en plus d’avoir été conseiller politique à la Coalition Avenir Québec. Il blogue sur les enjeux sociaux et politiques contemporains à L’actualité depuis 2013. On peut le suivre sur Twitter : @jeromelussier.

Les commentaires sont fermés.

Dans l’éventualité où le gouvernement va de l’avant avec une modulation simplement en fonction des revenus, pourquoi ne ferait-il pas une distinction en tenant compte aussi du type de milieux de garde, les CPE coûtant beaucoup plus cher à l’état qu’un milieux familial (par enfant)?

Par ailleurs, sommes-nous en train d’ouvrir la porte au démantèlement du réseau des CPE en ouvrant cette brèche (avec ou sans mon scénario)? À réfléchir, surtout qu’actuellement, un grand absent de tout ce débat est «l’apport économique» qu’apporte un tel réseau au Québec.

Je pense que le meileeure investissement est donner aux citoyens de largent pour etre minimalement autonome mais aussi pour payer en partie leurs services et peu^-etre insvestir a developper des entreprises faire des placement ou consommer Donc en ayant une prestation de 10,000$ pour chaque adulte revenu minimum garanti et de 5000$ par enfant plus 2500$ en régime épargne étude ainsi en mettant le revenu minimum a 15$ lheure On peut charger 15% dimpot aux moins de 50,000$ et 45% aux plus de 200,000$ Mais aussi subventionner les services de garde, frais de scolarité au privé basé sur la subvention au public et les frais de scolarité cegep et université en subventionnant a 95% pour les moins de 50,000$ 85% entre 50-75000$ 75% entre 75-1000$ 65% entre 100-125000$ 55% entre 125-150000$ 45% entre 150-175000$ 35% et plus de 200000$ a 25% en adoptant le calendrier scolaire equilibré 12 mois 2sessions plus une session de consolidation ouvert a linternational avec résidence et développer des camp de jour de 3sem et des cours de reprises entre les session on stimule le developpement de lécnomie développer davantage déquipement sportifs et culturels aux étblissement scolaires publics pour rentabiliser les investissement en les rendant accessible aux citoyens le soir et les fin de sem si les services sont trop cher les plus pauvres vont grder les enfnts a la maison ce nest pas le but recherché on veut des services de qualité des 24/7 de garde avec résidence aux écoles pour répondre ux besoins des travailleurs des écoles coopératives et des cliniques médicale coopérative pourront se développer pour diversifier loffre Des bâtiments empilable et déménageables selon les besoins dune école a lautre pourront etre loué avec option dachat avec service de déplacement comme des containeurs recyclé 5 de large qui font le tour de la cour décole sur 7-8 étages Faire du développement et stimuler la diversification des revenus plutôt que de réduire les services les développer et les rendre accessibles aux étrangers pourquoi ne pas développer aussi les cegep et les universités avec résidence toutes les formations accessibles a tout les centre de services avec résidence pour étranger 2 session réguliere plus 1 session de stage en entreprise