Le dossier de L’actualité sur les Anglo-Québécois a provoqué de vives réactions chez quelques collègues anglophones, mais également une explosion de gags, pour l’essentiel bon enfant, sur twitter.
Les participants, presque tous anglos, rapportent ou — on l’espère — inventent des comportements de « mauvais anglos ».
Je vous traduis mes préférés:
#Appuyer 1 pour le service en français, puis parler anglais quand même
#Désigner les zones francophones de Montréal comme le « French District »
#Prononcer exprès Jean Talon Jeen Tailloon
#Entendre parler d’une fusillade à Montréal Nord, et ne pas savoir où c’est
#N’avoir pas écouté un seul épisode de Star Académie ou d’Occupation double
#Être presque certain que Julie Snyder et Véronique Cloutier sont la même personne
#Manquer de respect pour la Fête Nationale en 1) y participant 2) n’y participant pas
#Être allé cinq fois en France mais jamais à Chicoutimi
Pour chaque anglophone qui ne connaît pas Véronique Cloutier, il doit bien avoir une demi-douzaine de francophones qui ignorent qui était Joe Beef, pourtant important dans l’histoire de Montréal. C’est pas les Anglais qui nuisent au français, c’est nous-mêmes par manque de fierté et d’envergure. Ah pis calice, comme dirait Jessica Paré.
Hum Hum!…. C’est supposé être drôle ?
À quel jeu jouez-vous au juste Jean-François ?
Ah bon, vous êtes anglomane et vous voulez sortir du placard….. Bravo, vous avez réussi.
Je ne veux ps vous faire de peine mais on le savait. On a des grilles d’analyse. Notamment la fenêtre de Johari. Vous ne pouvez rien nous cacher. Même ce que vous ne savez pas de vous.
J’aimerais tellement que les francophones cessent de voir chaque anglophone Montréalais comme un méchant, mais plutôt comme un être humain qui est né ici, et qui tente de faire sa vie sans se faire marquer au fer rouge parce qu’il représente tout ce que les nationalistes détestent.
Ça m’étonnerait qu’il n’y ait que de la blaguette inoffensive qui circule dans la gazouillosphère. Il doit bien y avoir quelques Don Cherry ou Mordechai Richler dans un coin. Mais, je comprends que n’en parliez point puisque les Quebec bashers vous accuseraient aussitôt d’être un sale raciste séparatisse!
« Manquer de respect pour la Fête Nationale en 1) y participant 2) n’y participant pas »
Ouch! Celle-là, elle fesse.
Wate do you cède?
Je suis 100% d’accord avec M. Roberto Vital.
Je suis un anglo bilingue, né à Montréal, qui est tanné de lire de la propagande de la part des nationalistes à chaque jour incitant la haine envers ma communauté.
J’ai tellement d’amis francophones, collègues francophones, et je parle avec des francophones tous les jours sans aucun conflit entre nous…..donc je ne comprends vraiment pas pourquoi il existe des gens, en 2012, qui insiste à continuer de diviser « les deux solitudes » de ce pay/cette province
C’est dommage…
Parlant d’humour anglophone, Sugar Sammy ne me plait pas. Avec son spectacle bilingue d’odeur fédéraliste, il est un modèle pour les jeunes sans culture à moitier colonisés. Et je ne parle pas des quantités de chansons populaires en francais avec des refrains en anglais! Définitivement, la culture est une lame à deux tranchants pour notre belle société francophone d’amérique du nord!
@Roberto Vital
J’aimerais tellement que les anglophones cessent de voir chaque francophone comme un méchant, mais plutôt comme un être humain qui est né ici, et qui tente de faire sa vie sans se faire marquer au fer rouge parce qu’il représente tout ce que les colonisateurs détestent.
Ça va dans les deux sens mon cher Monsieur. Jusqu’à maintenant, les Québécois francophone font parti des gens les plus bilingues (et même trilingue) au monde et sont parmi les plus ouvert sur le monde.
Pour les anglo-québécois, bien qu’ils soient très bilingues, ils évitent d’utiliser le français et ne connaissent que la culture anglo-saxonne. C’est une triste vérité, mais ce ne fait pas d’eux des méchantes personnes pour autant.
« #Manquer de respect pour la Fête Nationale en 1) y participant 2) n’y participant pas »
Ahaha,je la trouve très drôle. Surtout qu’il y a des colons qui pensent vraiment de même.
Je suis ni d’origine anglophone ni d’origine francophone alors pourquoi est-ce que je trouve que la majorité des tweets #badanglo sonnent comme du mépris?
Est-ce qu’un tweet d’un franco-ontarien de Cornwall disant vouloir un service en français à l’hôpital serait aussi bien reçu? Je dis ça comme ça…
@Cincibole
Ha ha ha, une grille d’analyse carrée pour nos têtes carrées… vraiment que d’humour ethno centré!
Mais passons, les pauvres petits descendants réfugiés du Commonwealth qui exigent l’égalité, même en humour. C’est tellement difficile pour eux, ils doivent bien compenser pour la tolérance à l’égard de ces frenchies, croisés au hasard quand ils vont vers l’est et les pauvres. Toute ces migraines qu’ils éviteraient si les frogs parlaient English (mais pas comme des Écossais ou des Australiens), non un anglais plus Élisabéthain, mais quand même bien provincial pour qu’on ne se sente pas dépaysé.
Franchement, j’ai lu tellement de commentaires pour expliquer que les québécois doivent être plus balingue. Ma préférée est celle qui met en scène ces pauvres étasuniens de la très unilingue patrie des sectes et des fusils, fraichement descendu pour étudier à McGill ou Concordia ou par masochisme pour vivre ici, au frette. Ils sont vraiment trop cons pour apprendre le française, alors il faut apprendre l’anglais fluent vous comprenez, après tout l’anglaise est international!! Non mais ils nous prennent pour qui nos Anglos (je dis nos car ne sommes nous pas ceux qui les entretiennent le mieux de par le monde et si ce n’est pas le monde, juste en comparant le traitement des minorités francos-machins à travers le ROC)? Quelle lâcheté de toujours se cacher (et c’est le cas de le dire) derrière leurs petits cousins Yankies. Dire que nous les québécois on a déjà mal à partir avec les gouvernements d’Ottawa qui nous taxe à 60% et outrepasse, surtout au Québec, dans des supposés champs de compétences pour s’assurer que La minorité ait le sentiment de ne pas être une minorité canadienne (franco ou autochtone).
Mais imaginé un instant qu’il y ait une véritable égalité dans leurs pays le Canada, toutes les grandes universités, hôpitaux seraient aux mains des minorités francophones à l’extérieur du Québec, 67% des professeurs titulaires du ROC seraient des francophones, l’anglais serait menacé partout au Canada parce que les différentes vagues d’immigrations auraient naturellement préférés s’afficher avec les communautés de prestiges du Canada, sauf au Québec évidemment, on est distinct! Pariez qu’on entendrait parler de la pauvre majorité canadian qui subit un processus lancinant d’assimilation par sa minorité, à l’Unesco, au siège de l’ONU à New-York, au tribunal pénal de La Haie, ce serait plus urgent que le dossier palestinien pour la paix au Proche-Orient, il y aurait des levés de fonds en Haïti on se « saignerait à blanc » (mauvais jeu de mot) pour aider les pauvres petits canadians à finir leurs secondaire avec des livres neufs.
Enfin de l’autarcie culturelle, sociale et financière de nos Anglos, de l’indisposition disproportionné à un réel débat, des réactions épidermique à ne serait-ce qu’une allusion de respect, même de l’apparente tolérance de leurs ainés qui ont vu les québécois se mobiliser pendant 40 ans, pour ne plus être des « nègres blancs », ce que j’en comprend est que cette apparente tolérance (celle du genre de bilinguisme officiel pour les seuls touristes comme à Ottawa, n’est pas une valeur fondamentale de celle que l’on transmet avec affection à ses enfants. Ce qui se transmet dans la communauté Anglo du Québec, comme dans toutes les communautés Anglos à travers le monde est l’exercice du modèle politique favorisant toujours cette ethnie au dépend de toutes les autres, la ségrégation étant sa forme la plus répandu (même quand elle se drape d’égalité notamment pour les cercles partitionistes du West-Island de Mount-real) de cette pratique, que ce soit contre les noirs, les catholiques, peut importe le trait que l’on peut utilisé pour alimenter la noble attitude de ségrégationnisme justifié. Il suffit juste de cristalliser un sentiment d’assiégé et de jouer là-dessus encore et encore jusqu’au moment ou on peut identifier une menace, même artificielle et faire que cela deviennent une réalité. Je me souviens d’une discussion avec un collègue anglophone qui se scandalisait qu’une brasserie de Montréal devait changer ses affiches unilingues anglaises, partie du patrimoine mondial (selon les feuilles de choux issu de la communauté anglophone), alors que la réalité était que cette brasserie propriété d’un activiste partitioniste avait reçu un avis de l’office de la langue française parce que non les affiches mais ses menus étaient en anglais seulement, la mauvaise foi aidant à l’époque c’est l’ensemble de la communauté c’était un moment de transe ou on ressert les rangs et on prépare la mobilisation pour la prochaine étape. Mais gare à vous petit québécois si vous faite mine de réagir vous serez taxé de fascisme dans les quotidiens du Canada et par des groupuscules sectaires de Montréal comme certains groupe Loubavitch (surtout reconnu pour leurs ouverture aux valeurs libérales, qui vous traiteront de nazi et quelques humoristes à Just for Laughs qui trouveront normal de regarder nos travers plutôt que les leurs, après tout on ne rit jamais des victimes, ce n’est pas encore l’ONU mais avoué qu’on en est pas loin.
Pour cette communauté seule protagoniste protégé de la sorte par la majorité canadian, le très grand avantage est que cette culture de l’indifférence à ce qui est externe au groupe permet de faire sortir le vote, de faire acheter au sein de la communauté et finalement isolé la majorité économiquement et politiquement sans contributions à l’avancement de tout les citoyens, car le but c’est de faire disparaître cette majorité, Ça a marché pour le Canada, il n’y a aucune raison pour que ça ne marche pas pour le Québec, dernier rempart résistant au fantasme d’hégémonie anglo-américaine de l’AANB.
Alors excusez moi, car même si enfant j’étais bilingue, même si la moitié de ma famille et de mes blondes étaient de petites canadiennes, n’étant pas une victime ou un hypocrite je ne cautionnerais pas le mépris en héritage que nous donne cette communauté qui n’est qu’une parmi d’autres, parmi les centaines venu ici avant ou après la venu des européens. Tout anglophile que vous soyez M. Lisée, pour l’avenir du Québec, quel qu’il soit il devra se passer du ségrégationnisme canadien et de ses tristes dérives comme celle de nos enfants gâtés à l’ouest de l’est ou la plus triste résultante comme le projet hégémonique mafieux Mohawk dont il faudra pourtant trouver une voie de guérison. Voilà bien un groupe porté à l’extinction par ses alliés anti-Nouvelle-France qui l’ont soutenu tant qu’ils étaient utile avec laquelle une certaine élite de la communauté Anglo (pensé à John Ciaccia, ancien ministre fédéral des Indiens et ministre sous Robert Bourassa lors de la crise d’Oka) a besoin des « Warriors », pendant autochtone des Hells Angels dont l’anglais est la seule véritable langue, ardent coalisés pour son un devant les prémunir contre les méchants souverainistes (alors même que René Lévesque et le parti québécois furent les seuls à se préoccuper de la pérennité de la langue et de la culture des « Langues de serpents »). non aux Anglophile canadien pédant du bilinguisme sacré, oui aux anglophile québécois bonenfant, socialement, économiquement et culturellement ouvert et généreux!
Un bon Anglo québécois, bien assimilé, pourrait même continuer à parler anglais, à condition de remplacer ses «fuck» par des «tabarnaque», principalement en vacances dans le Sud du genre : Après s’est frappé le gros orteil sur une patte de le chaise : It hurts en tabarnaque. Ayoye!
@Cincibole
« Je ne veux ps vous faire de peine mais on le savait. On a des grilles d’analyse. Notamment la fenêtre de Johari. Vous ne pouvez rien nous cacher. Même ce que vous ne savez pas de vous »
De qui parlez vous? Qui est ce « on » et ce « nous »?
I AM WATCHING YOU
julie qui?? véro quoi?? chicouti où ?? en passant ma famille est francophone et vit au quebec depuis 1710 ,pour moi c’est autant permis a un anglo de ne pas connaitre julie snyder que pour un franco d’ignorer qui est ben mulroney ou joe beef et je ne suis pas sur que ce soit une grosse perte pour eux.lol,si c’est Ça nos cultures respectives disons que c’est pas fort fort.
les anglos sont droles mais toujours un peu en retard,mon frère a votre no 1 comme message sur son répondeur en version française depuis le référendum de 1995 avec une finale légerement différente qui va un peu comme suit,;pour le service en français faite le 1 et pour le service en anglais f… y..
@ Roberto Vital (# 3):
Je suis assuré que l’opinion de la très…très vaste majorité des francophones de Montréal est saine et équilibrée et qu’elle rejoint celle que vous exprimez ici, à savoir que nous ne considérons nullement les anglos comme une menace ou une quelconque provocation; d’ailleurs, la grande majorité d’entre-eux s’expriment très bien en Français…mieux en tout cas que bien des Québécois francophones frais émoulus de nos CEGEPs.
Le « combat » que mènent certains nationaleux québécois en est un d’arrière-garde et leur haine et leur hargne envers les anglos ne rejoint qu’une misérable poignée d’inébranlables irréductibles qui tentent de convaincre les autres québécois, dont l’identité est solidement ancrée dans la terre fertile canadienne, que leur pensée jurassique est « moderne, évoluée et révolutionnaire »…
Il ne leur reste que ces échauffourées sporadiques et artificielles pour enflammer ce qui reste de leur ressort séparatiste, miné jusqu’à la corde à force d’être trop souvent sollicité.
On me rapporte que, circa 1996, les étudiants de McGill appellaient la station de métro Pie IX: PIE-NINE STATION (le « pie » prononcé comme une tarte).
Ceci dir:
« N’avoir pas écouté un seul épisode de Star Académie ou d’Occupation double »
C’est mon cas…
J’ai ce matin sur un site en relation avec les problèmes linguistiques à Cornwall voté pour l’abolition du bilinguisme au Canada. Je veux un Québec français où tout le monde est libre de parler la langue qu’il veut en autant qu’il parle aussi la langue d’état. Le Canada quant à lui peut continuer à privilégier l’anglais et cesser de faire semblant de s’intéresser aux minorités francophones pour plaire au Québec. J’en ai rien à cirer du Canada!
@Michel Gagnon
Ce que vous soulignez, ce n’est pas le « manque d’envergure » des Québécois francophones, mais bel et bien ce qu’on appelle les « deux solitudes »:
« Pour chaque anglophone qui ne connaît pas Véronique Cloutier, il doit bien avoir une demi-douzaine de francophones qui ignorent qui était Joe Beef, pourtant important dans l’histoire de Montréal. »
@Roberto Vital
Il serait peut-être temps de sortir du discours victimisant envers les anglo-québécois pour se rendre compte que la majorité des souverainistes n’ont pas de « haine » envers eux. Vouloir défendre sa culture ne veut pas dire qu’on veut faire disparaître celle des autres.
« On aurait tort de vouloir réduire un désir naturel de liberté à une simple réaction de ressentiment. » (Pierre Bourgault)
Ça doit leur faire du bien de «lâcher leur fou», surtout qu’ils sont encore traumatisés, les «pauvres», par le régime de Terreur qu’ils ont subi sous les nazis péquisses, qui les ont cantonnés dans leur «ghetto» du West Island et les ont obligés à porter des fleurs de lys jaunes (allusion ironique, bien sûr, à la géniale parodie que RBO a faite de la paranoïa des Anglos, il y a quelques années !)
Une petite vite, en passant ?
Pourquoi les Anglos n’ont jamais voté pour le Bloc ?
Parce qu’ils votent déjà en bloc.
@michel gagnon
En 1900 soixante-quelque les filles bien éduquées ne disaient pas câlice. No way.
Et votre Jessica en passant a un accent anglais. Faut le faire: s’appeler Paré, avoir une mère Mercier, et casser son français!
Haha, je dois avouer que certaines de ces « jokes » sont plutôt bonnes. Quoiqu’il en soit, selon moi, qu’un anglo ne sache pas qui est Marie-Mai ou Julie Snyder ne traduit pas nécessairement qu’il est fermé à la culture franco, mais plutôt qu’il est sain d’esprit…
@ Mark
@ Roberto Vital
Je souhaite qu’un jour vous réaliserez que défendre le fait français au Québec, ou , encore mieux, appuyer le mouvement souverainiste ne signifie PAS qu’on « hait » les anglophones. J’ai des racines en partie anglophones, je suis parfaitement bilingue, j’ai énormément d’amis anglophones, mais ça ne m’empêche pas de penser que le Québec a intérêt à devenir un pays si l’on veut que la langue française survive en Amérique du Nord.
Vous pouvez nous traiter de racistes, d’intolérants, de « méchants-qui-veulent-nous-diviser-et-briser-la-belle-harmonie », rien n’y changera, il ne s’agit pas d’un combat contre vous, mais bien POUR la nation québécoise. Il n’y a rien de mal à s’affirmer!
@ 7Mark
« Je suis un anglo bilingue, né à Montréal, qui est tanné de lire de la propagande de la part des nationalistes à chaque jour incitant la haine envers ma communauté. »
Vous avez la preuve avec vos amis qu’il n’y a pas autant de haine que vous le pensez. Demandez-vous plutôt qui fait cette propagande dans les journaux et pourquoi.
Évidemment si vous voulez massacrer la loi 101 attendez vous à la guerre.
@ François 1#16
Vous faites justement partie des francophones qui favorisent cette propagande dont parle Mack au #7.
Des blagues de mauvais goût et méprisantes que dire de plus.
Le mépris envers une nation est synonyme de racisme. Trop d’anglophones méprisent les Québécois en souhaitant leur disparition comme nation.
Parce que l’enquête de l’Actualité semble prouver que les angloQuébécois souhaitent un génocide culturel des francophones au Québec.
Cette hypothèse de génocide culturel ne devrait pas faire l’objet d’une censure dans le blogue, elle repose sur 59% d’anglophones qui trouvent tout à fait normal et légitime que Montréal ne soit plus une ville majoritairement francophone. (c’est dans l’Actualité) et sans parler ici des jeunes dont a parlé abondamment J.F.Lisée.
Les anglophones qui s’accommodent de la disparition des francophones au Québec et au Canada c’est ce qu’on peut qualifier d’encouragement à un génocide culturel.
Pour les censeurs ou contrôleurs des blogues encore une fois, génocide culturel c’est dans le dictionnaire. La mention de génocide n’est pas fautive voire criminelle si elle dénonce sa possibilité ou sa réalisation passée.
L’Amérique du Nord est le continent le plus unitaire au niveau linguistique ou culturel c’est peut être parce que le colonialisme est propice à la domination politique et culturelle ou aux génocides.
Poser la question c’est y ..
Qu’est-ce qu’il y a d’extraordinaire à ce que les anglos du Québec soient (ou prétendent être)bilingues On nous dit 75% ? J’en doute, mais acceptons ce chiffre pour l’exercice:
» Au Nouveau-Brunswick, le taux de bilinguisme est de 71,5 % pour les francophones, 15 % pour les anglophones et 17,5 % pour les allophones. En Ontario, il est de 89,4 % pour les francophones, 8,2 % pour les anglophones et 6,8 % pour les allophones. Dans toutes les autres provinces, les francophones accusent les plus forts taux de bilinguisme: 91,6 % au Manitoba, 90,1 % à l’Île-du-Prince-Édouard, 89,6 % en Alberta, 89,3 % au Yukon, 89,0 % en Colombie-Britannique, 87,8 % en Saskatchewan, 86,3 % au Nunavut, 86,2 % dans les Territoires du Nord-Ouest, 85,8 % à Terre-Neuve. »
Données de 2001 du site de l’aménagement linguistique de l’U de Ottawa.
http://www.salic.uottawa.ca/?q=anglais_francais_taux
Allons… rions un peu… all the way to folklorisation !
Très drôles les comportements de “mauvais anglos” rapportés avec ironie par ces journalistes.