Le bilan d’Obama: un atout pour Clinton

Le président sortant laisse une image positive de ses mandats.

Le président Barack Obama. (Photo officielle de la Maison-Blanche/Pete Souza) This official White House photograph is being made available only for publication by news organizations and/or for personal use printing by the subject(s) of the photograph. The photograph may not be manipulated in any way and may not be used in commercial or political materials, advertisements, emails, products, promotions that in any way suggests approval or endorsement of the President, the First Family, or the White House.
Le président Barack Obama. (Photo officielle de la Maison-Blanche/Pete Souza)

Le candidat républicain à la présidence américaine, Donald Trump, met régulièrement en garde les électeurs contre le danger d’élire Hillary Clinton. Si elle l’emporte, dit-il, ce sera «quatre autres années d’Obama». Et selon lui, «personne» ne voudrait ça. Or, selon de récents sondages, pas moins de 55 % des Américains se disent satisfaits du travail de Barack Obama, un sommet depuis la réélection du président démocrate, en 2012. Historiquement, le taux de satisfaction du président sortant est un bon indicateur des résultats des présidentielles américaines…

VIDÉO | De quoi se plaignent les Américains?

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Taux d’approbation du président Obama

(Source: Gallup)
Source: Gallup

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Le taux de chômage chute…

(Taux de chômage aux États-Unis, 16 ans et plus. Source: Bureau des statistiques du travail)
Taux de chômage aux États-Unis, 16 ans et plus. (Source: Bureau des statistiques du travail)

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Le niveau de vie s’améliore

(Source: Gallup, sept. 2016)
Source: Gallup, sept. 2016
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En 8 ans Obama a doublé la dette, la faisant passer de 6.8 à 14.2 billions, quel superbe bilan!

Monsieur Obama a d[u payer 87$ milliards par mois pour les soldats et ravitaillement en place en Irak et Afghanistan, produits de ld’industrie de guerre des républicains. Il a dû encourir les centaines de milliards pour rapatrier tout ce beau monde ainsi que tout l’équipement qui se trouvait dans ces deux pays (estimatiion du GAO de 43$ milliards par année durant six ans. A elle seule la guerre en Iraq exiga 1.6 millions de gallons en gasoline et un coût total selon le GAO de 1.7$ trilliard au 30 novembre 2013 qui ne comprend pas les dépenses de démobilisation ni les dépenses suivantes.

Traitement de plus de 87,000 soldats aux prises avec le Syndrome de Stress Post Traumatique, les cinq années d’études, souvent de niveau secondaire que les soldats n’avaient même pas à leur currirulum avant d’aller à la guerre et ce à 85% du salaire qu’ils touchaient durant la guerre. 490$ milliards en bénéfices pour les 34,000 vétérans qui doivent être rémunérés à vie parce qu’ils leur manque un bras, une jambe ou les deux ainsi que les soins dont les coûts sont faramineux. 3.3$ trilliards sur 8 ans (sans inclure les intérêts) pour reconstruirre ce qu’ils ont détruits et qui dont les contrats sont octroyés par le gouvernement Iraquien à toutes entreprises sauf américaines (décret de 2010).

Le tout sous le très responsable Bush.