Les solutions miracles du PQ

Envers et contre tout, le PQ semble toujours plein d’espoir.

PKP incarnait un sauveur pour les militants du PQ. Mais les Québécois ont-ils encore seulement le goût d’être souverain? (Photo: Ryan Remiorz/La Presse Canadienne)

Avec la spectaculaire fin en queue de poisson de l’épisode Pierre Karl Péladeau, on pourrait croire que la foi du Parti québécois dans les solutions miracles serait ébranlée.

Au contraire, tout indique qu’elle est aussi intacte que la problématique qui l’a tenu à l’écart du pouvoir pendant 11 années sur les 13 dernières.

Après avoir cherché le salut dans un improbable sauveur, une partie des forces vives du PQ est désormais prête à se replier sur la convergence des forces souverainistes. Aux yeux des apôtres de cette option, la conclusion d’une alliance électorale avec Québec solidaire — en principe fondée sur le désir commun de mettre le cap sur la souveraineté — permettrait de faire le plein de votes souverainistes et d’éviter un nouvel échec électoral en 2018. Sauf que :

• Ce n’est pas parce qu’on dit à un sondeur qu’on voterait oui à un référendum qu’on considère que la tenue d’un autre vote sur l’avenir politique du Québec est une priorité ou même que c’est désirable. Depuis 2003, les Québécois qui disent aux sondeurs qu’ils voteraient oui à l’indépendance ont eu cinq occasions sous presque autant de chefs péquistes différents de dire oui à une reprise du débat référendaire en leur donnant un gouvernement majo­ritaire. Si aucun de ces leaders n’a réussi à coaliser le vote souverainiste en vue d’un nouveau périple référendaire, c’est peut-être parce que le parti tente de vendre des automobiles à des cyclistes !

• Parmi les électeurs qui appuient Québec solidaire, il y a un nombre conséquent de fédéralistes progressistes. S’ils appuient QS malgré son étiquette souverainiste, c’est pour le reste des idées que cette formation défend, mais aussi parce qu’elle est trop éloignée du pouvoir pour mettre un référendum en chantier. Dans l’éventualité d’une alliance avec le PQ, bon nombre d’entre eux pourraient aller grossir les rangs d’un autre parti, moins porté sur le débat national. On serait alors devant une opération à profit nul ou même négatif pour ses instigateurs.

• L’attrait de PKP était prononcé au sein de la frange plus conservatrice de l’électorat francophone. La présence d’Amir Khadir et de Françoise David sur une liste de candidats PQ-QS dirigée par un (ou une) chef péquiste plus gauchisant pourrait envoyer des clients à la Coalition Avenir Québec.


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En clair, une alliance PQ-QS fondée sur une démarche commune d’accession à la souveraineté pourrait coaliser encore davantage le vote fédéraliste, et une alliance fondée sur un programme de centre gauche et sur un discours péquiste à l’avenant risquerait de rendre le flanc droit du PQ vulnérable aux charmes de François Legault !

Pendant longtemps, le fait d’être fédéraliste au Québec a été considéré comme une sorte de maladie honteuse non seu­lement par bien des souverainistes, mais par une partie de ceux qui préfé­raient néanmoins continuer d’adhérer au Canada. Depuis 30 ans, le vote discret a surtout été l’apanage d’électeurs fédéralistes.

En 1995, le camp du Non avait eu de la difficulté à faire le poids contre Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Mario Dumont. Par comparaison aux ténors souverainistes, les principales têtes d’affiche fédéralistes souffraient d’un déficit de charisme. Leur discours était trop tristounet pour soulever les foules.

Aujourd’hui, les rôles sont en voie d’être renversés. Depuis les élections fédérales de l’automne dernier, la popularité retrouvée du PLC au Québec ne s’est pas démentie. Selon un sondage Léger Marketing publié par Le Devoir au début du mois, le parti de Justin Trudeau ratisse encore plus large (51 %) après six mois au pouvoir que le soir de sa victoire (36 %).

Si des élections avaient lieu ce printemps, l’équipe Trudeau balaierait le Québec. Mais ce que le sondage révélait surtout, c’est que la popularité du PLC ne tient plus seulement aux charmes comparatifs de son chef par rapport au mal-aimé Stephen Harper.

Les principaux pans du programme du gouvernement Trudeau — contrairement à ceux de Philippe Couillard — suscitent tous une forte adhésion populaire au Québec.

Tout cela pour dire que, dans ses calculs, la classe politique souverainiste devrait s’inquiéter de ce que, après l’enthousiasme, la fierté soit à son tour en voie de quitter son camp.

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Depuis 20 ans, trouvez-moi un leader péquiste qui a fait UN discours marquant sur la souveraineté du Québec au cours des 20 dernières années?
Tout ce qu’ils ont fait c’est s’astiner sur le référendum, sur la stratégie.
Aucun n’a réussi à marquer des points sur les faiblesses évidentes du régime fédéral (monarchie, pétrole sale, démographie, multiculturalisme, sénat, armée etc)
Le PQ est plus que jamais un petit parti provincial, sans aucune passion souverainiste

Faiblesses « évidentes » du régime fédéral Canadien…

Probablement à cause de ces « faiblesses » que notre pays, Le Canada est un des, sinon LE meilleur, pays du MONDE!!! Et que des milliers de gens par année risquent leur VIE pour venir y vivre.

Parfait? Non! mais lorsque je compare ce magnifique pays à d’autres entités, je suis fier d’appartenir à cette grande nation Canadienne.

Le discours « marquant » que vous attende de la part des éthérés péquiste ne viendra jamais car il serait totalement déconnecté de ce que les habitants de la province de Québec sont en mesure de constater à tous les jours.

Vous ne pouvez arrêter le cour d’un fleuve en vous tenant au milieu de celui-ci.

J’aime bien vous citer : » de la part des éthérés péquiste »

Éthéré : passons le sens premier qui tourne autour de l’éther bien évidemment.

Au sens abstrait comme vous l’utilisez, le dictionnaire nous dit :

b) Dans le domaine abstr. Pur, élevé, sublime.

Un esprit éthéré; idéalisme, lyrisme, spiritualisme éthéré.
Une vision supérieure, éthérée de la vie (Rivière, Corresp. [avec Alain-Fournier], 1905, p. 187).
Une atmosphère éthérée où les ragots n’ont pas de prise (Fargue, Piéton Paris,1939, p. 71):
______________________________________________________

Lisez Jacques Parizeau sur l’économie d’un Québec indépendant.
Mais, j’oubliais qu’à son décès vous avez été le seul ridiculiser son apport économique à la province.
Et lui, est passé à 0,05% de réussir.

Je vous soupçonne d’être suffisamment intelligent pour avoir compris que le terme d’éthéré que j’utilise est plutôt synonyme d’évaporé, d’immatériel, etc… Mais…bon…je spécule.

Je persiste et signe sur Jacques Parizeau. Son apport économique, incluant son « plan 0 », sa cage à homards et sa réaction au sujet des ethnies le soir de la deuxième DÉFAITE a été de continuer de nous endetter et de gaspiller des milliards inutilement pour convaincre ses congénères de voter « oui » alors qu’ils voulaient voter « non ».

Il en fait de l’aveuglément volontaire pour affirmer qu’il est venu à 0.05% de réussir.

Premièrement, sans l’apport de Lucien Bouchard, il n’aurait récolté qu’environ 40%, soit le plus haut score dans les sondages pré-Bouchard. Ensuite, pour atteindre le 49.5% en question, il a dû développer une question fleuve référendaire opaque au max (presque le quart de ceux qui ont voté « oui » croyaient sincèrement que l’on demeurerait toujours au sein de notre beau et grand pays, Le Canada!) et en plus, il a dû promettre les choses suivantes: conserver le passeport CANADIEN, les institutions CANADIENNES, les fonctionnaires CANADIENS, les frontières CANADIENNES, les monnaie CANADIENNE, de demeurer dans le Commonwealth BRITANIQUE, et tutti quanti… Et il a quand même PERDU!

Un autre looser dans la mythologie séparatiste qui en est déjà grassement garnie.

Jack2, vous savez quoi, j’ai 25 ans et c’est exactement ce que je me dit! Je suis né en plein coeur de cette période charnière, mais j’attends toujours de voir un chef péquiste qui me parle publiquement, avec passion et ouvertement de souveraineté. (mention honorable à J.M. Aussant pour UN toutefois)

Je comprends qu’il est intéressant de se remémorer ou débattre des moments qui ont marqués notre Québec, mais parfois c’est à se demander si les militants du PQ veulent vraiment qu’on s’intéresse à la cause souverainiste.

Entre le silence radio du PQ et les entrevues ou chroniques souvenirs qu’on nous serre, ce que je retiens c’est qu’a une époque un groupe de citoyens ont eu un projet de grandeur et des idées innovantes, qu’ils sont passés à un cheveu de réussir. Le projet a toutefois échouer (il y a plus de 20ans!) et depuis on dirait que ces mêmes gens bourrés de vision ne vivent plus que pour s’assurer qu’on est conscient de leurs vieilles croisades. La souveraineté sous sa forme actuelle n’est plus un projet, c’est un souvenir de 95.

Au rythme auquel la planète évolue par rapport au projet du PQ et avec des idées comme la »charte des valeurs québécoises » c’est à ce demander si ces même gens ne devraient pas plutôt s’atteler à rédiger les livres d’histoire du Québec.

Ce à quoi nous assistons, pas seulement parmi nous tant dans le Québec que dans le Canada, c’est un changement de génération dans toutes sortes de domaines, y compris évidemment en politique. Force est bien de constater que le monde a changé et qu’il continue de changer.

Je ne sais pas si ce à quoi nous assistons est meilleur que ce qui était voici 20, 30, 50 ans ; mais il faut bien admettre que les gens ne sont plus comme avant.

Bien qu’il soit encore un peu tôt pour savoir de quoi sera fait le futur du PQ, je ne serai pas étonné outre mesure, si le ou la prochain(e) chef(fe) marque ce changement de garde. La question, selon moi serait de savoir si ce passage du témoin aux générations suivantes sera bénéfique pour le mouvement souverainiste ou si ce changement de garde marquera la fin du concept de souveraineté au Québec ?

Quoiqu’il en soit, c’est la notion même d’indépendance qui devra être reconfigurée et/ou dépendant de cette reconfiguration, on verra s’il est possible de concevoir une sorte d’union avec QS ou ON.

L’une des questions qu’on pourrait encore peut-être se poser, consisterait à savoir au terme de la publication de l’essai de René Lévesque : « Option Québec » voici presque 50 ans, si depuis, la classe souverainiste n’a tout simplement pas comme les anciens hébreux, erré dans une sorte de désert, brandissant plutôt l’interdit à tout bout de champ, que d’ouvrir pratiquement le chemin ?

Dans la bible, le retour à la « Terre promise » ne s’est pas fait miraculeusement ; à toutes fins pratiques ce sont les jeunes qui les armes à la main se sont emparés du pouvoir au moment opportun. En quelques sortes, l’indépendance où qu’elle soit et de toutes époques, cela relève avant toutes choses d’un processus révolutionnaire lorsque les référendums et autres consultations populaires sont dans ce genre de circonstances purement anecdotiques.

Le bon vieux général de Gaulle avait très bien compris cela en faisant ratifier la nouvelle Constitution de la France par référendum à un moment où il était déjà solidement assis au pouvoir. Le référendum, ce n’est pas avant l’indépendance qu’il faut le faire. — Mais seulement après !

Madame Hébert semble oublier qu’avant l’élection de M. Trudeau il y avait eu celle du NPD avec un nombre important de « poteaux ». C’était une élection qui défiait tous les calcul et toutes les analyse. Celle de Trudeau n’en est pas loin. Les électeurs ne demandent pas quoi faire aux analystes!

L’élection de Justin est très circonstancielle. On oublie vite que ce n’était pas un vote pour lui, mais un vote contre Harper. Et que, juste quelques jours auparavant, c’est Mulcair qui était pressenti pour diriger le pays. Justin s’est faufilé comme Premier ministre à cause du contraste qu’il incarne en opposition à Harper. Toutefois, il ne faut pas se leurrer, il saura se faire détester tout autant que Harper. Laissons le temps faire son œuvre.

Tout de même incroyable le nombre de « Messies » qui se sont succédés au PQ et qui devaient nous mener au grand soir non?

Ça fait plus de 50 ans que ce parti tente de faire voter « oui » à un peuple qui ne veut manifestement pas de leur chimère. Et ils n’ont pas hésité sur le moyens: questions-fleuve tarabiscotées, promesses toutes aussi farfelues les unes que les autres, études bidon et j’en passe. Mais le lucide peuple Québécois a eu le dernier mot.

@ François 1
Un récent sondage nous indiquait qu’encore, 41% se disent souverainistes. Une chimère vous dites? Près de la moitié de la population serait à ce point naïve et manipulable? Réfléchissez quelque peu. Et puis, ce discours que vous répétez, ad nauseam, sans argument solide pour vous appuyer, laisse entrevoir votre mépris pour les québécois. Et puis non, il n’y a pas de messies au PQ… Il n’y a que des chefs qui se succèdent. Quels messies? Je me pose la question. Pauline? André? Sérieusement… Cessez vos commentaires irréfléchis.

En passant 40 % ce n’est pas 50% et ce n’ est qu’ un sondage ! Les sondages sont de plus en plus faux et ne réflète aucunement l’ opinion de l’ électeur qui se rend aux urnes !!!!!! La grande majorité des québecois ne veulent plus entendre parler de référendum ! Je pense que ceux qui méprisent le plus les Québecois sont les séparatistes purs et durs qui ne respectent pas la majorité !

41% vous dites???

Voyez plutôt ceci:

http://www.ledevoir.com/non-classe/453715/le-projet-de-pays-du-quebec-rebute

Et ceci:

http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201510/28/01-4914795-peladeau-optimiste-malgre-un-sondage-defavorable-a-lindependance.php

Bref, c’est l’hécatombe pour les séparatistes!!! D’ailleurs, pourquoi diable les différents chefs et futurs chefs ne dévoilent-ils pas leur stratégie référendaire CLAIRE?

Les Québécois sont indépendantistes quand ça ne compte pas (sondages) mais deviennent drôlement frileux lorsque c’est du sérieux.

Au fait, sur quoi voterions-nous au juste? Où est le projet CLAIR ET NET sur lequel nous voterions? Quelle serait la constitution de ce « pays »?

Ça fait plus de 50 ans que les péquistes nous cassent les oreilles avec leur utopie séparatiste mais ils sont encore et toujours totalement incapables de nous proposer quelque chose de clair, net et de précis. Que du verbiage et du radotage évasifs et nébuleux.

Le Canada nous fournit le BS dont nous avons tant besoin et il conserve encore et toujours l’une des premières places dans le monde où il fait bon vivre. Êtes-vous capables de nous PROUVER que vous pouvez « accoter ça »???

Les solutions miracles du PQ, je crois qu’elles sont épuisées, toutes les formules ou presque ont été envisagées. Que reste-t-il? Un parti décimé avec une faible députation à l’assemblée nationale prouve hors de tout doute que le PQ et son option ne plaît plus sous sa forme actuelle. Vous avez raison de souligner que les sondages sont loin de la réalité Oui je le veux et Non je ne veux plus lors du vote électoral. On ne peut malheureusement pas renouveler l’option souverainiste, le PQ à force de tergiverser à droite et à gauche, ne sait plus où il est rendu et se mêle lui-même. Une jeune génération et une deuxième vie, je peine à y croire, si eux se croient, tant mieux pour eux. Il n’y a pas trente-six solutions quand on parle de séparation ou d’indépendance, une seule voie. PKP dans sa foi souverainiste n’était pas un si mauvais choix mais comme chef du PQ mais bien plus travailler en parallèle à mettre en oeuvre le plan de souveraineté pour que ce soit prêt pour la prochaine élection. Le PQ est pris à la gorge de se relever, de regagner la confiance de l’électeur, convaincre la jeune génération et en plus préparer le référendum. Tout un programme.

Bonne fête de la Reine à TOUS les Québécois et surtout aux péquistes qui ont tenté de nous faire croire que Dollard Des Ormeaux ou les patriotes (2 loosers) étaient des héros.

Dans votre Québec, vous êtes fier de fêter la reine d’Angleterre ? Pas Élisabeth II, mais bien Victoria.
Celle-là même qui du revers de la main a refuser les demandes d’un groupe de Québécois, francophones et anglophones pour une série d’amendements pour démocratiser l’administration impériale au Canada.

C’est ce refus qui est à l’origine de la révolte des patriotes.
Les patriotes ne réclamaient pas l’indépendance du Québec, uniquement ce qu’on nomme de nos jours : une monarchie constitutionnelle.

C’est très proche du fameux : » No taxation without representation » qui a conduit à la révolte et à la naissance des États-Unis d’Amérique.

Pour ce qui est de Dollars Des Ormeaux, ça fait longtemps mon petit qu’on sait qu’il n’était qu’un aventurier et que sa mort n’avait rien à voir avec la survie de la colonie.
Ça fait des décennies qu’il n’est plus fêté.
C’est d’ailleur le péquiste Bernard Landry qui l’a déboulonner.

Qu’ est-ce qui se serait passé , si la France aurait continuer à colonisé l’ Amérique ??? Nous aurions été des colonisés plus que jamais, et elle nous aurais traité comme ses colonies ! Et puis pourquoi on parle de cela ? Si, si si …

Et pourtant…votre Jacques Parizeau lui-même a fortement insisté pour qu’un Québec indépendant DEMEURE DANS LE COMMONWEALTH BRITANIQUE!!!

Serait-il également contre les patriotes (en passant, il y a eu plus de patriotes ONTARIENS de pendu qu’il n’y a eu de Québécois…), et contre le « No taxation without representation « ?

La reine Victoria a présidé au pinacle de l’Empire Britannique et on ne fait pas d’omelettes sans casser quelques oeufs.

Les patriotes ne représentaient qu’une infime minorité des Canadiens-Français de l’époque (la révolte sévissait également en Ontario mais les historiens péquistes préfèrent ignorer ce FAIT!) et une fois leur petit tour de piste terminé, le reste de la population était soulagé de pouvoir revenir dans leurs habitudes qui, au demeurant, avaient grandement évolué depuis la conquête Britannique dont la DÉMOCRATIE était l’un des principaux apports.

Les USA ont eu leur histoire dans un contexte complètement différent du nôtre (ne les avons-nous pas d’ailleurs combattus?) et tenter d’utiliser un pan de la leur et de le copier-coller à la nôtre est insensé.

La fête de Dollard Des-Ormeaux nous a été imposée par les séparatistes qui, après avoir réalisé leur bourde (encore une autre!), l’ont changé pour celle des patriotes sur la seule base de faire disparaître notre Reine Victoria du paysage. À ce sujet, dites-moi une chose: quelle est la corrélation entre les patriotes et le 24 ou 25 mai? Ont-ils gagné une bataille importante en ce jour? Allez…renseignez-nous SVP.

Excusez-moi, j’oubliais. Si le Québec que vous souhaitez fête la reine d’Angleterre, sachez que ce n’est pas le cas de toutes les provinces.

Ce n’est pas un jour férié au Nouveau-Brunswick mais un jour de repos durant lequel les commerces sont fermés
C’est un jour férié que pour la fonction publique à Terre-Neuve-et-Labrador
et ce n’est même pas un jour férié en Nouvelle-Écosse et sur l’Île-du-Prince-Édouard.

Sont-ils moins patriotes canadiens pour autant ?

Le PLQ triche aux élections, et la propagande canadienne illégale, à même l’argent du Québec, est partout, et est devenu beaucoup trop forte pour les souverainistes. La volonté du peuple québécois a été volé. Le Québec a payé pour son propre ethnocide. Ils ne sont pas fous, ces anglais. Ils sont très forts. …

Ah bon le PLQ triche, les Anglais sont pas fous et la volonté du peuple québecois a été volé ! En passant ça prend un e à volée ! Y a t’ il autre chose à dire …….

Ah…la sombre théorie du « référendum volé » qui sert d’excuse depuis à la cruelle DÉFAITE des séparatistes.

S’il avait été volé (ce qui insinue que le vote des Québécois est à vendre!!!), pourquoi diable les Québécois sensés en être les « victimes » ne se révoltent-ils pas ouvertement et n’ont-ils pas élu avec une forte majorité le Parti québécois depuis???

Mystère…!!!???

Un peuple conquis, c`est un peuple conquis, depuis la conquête par les anglais on a peur, et avec raison, car ces bons conquérants ont pendu 12 des nôtres. et ils ont brulé des villages complet et violé les femmes… et Pierre Laporte…ils savent que la peur ça se fabrique et ça s`imprime jusque que dans nos gênes, et ça se transmet dans les gênes des générations suivantes qui elles à leur tour ont peur et ils ne savent pas pourquoi ils ont peur ! de temps à autres le conquérant envoie l`armé dans le pays conquis afin de raviver la peur, et ça fonctionne..le conquérant cré aussi parmi les conquis une classe qui se dit supérieur et qui donne des jobs au conquis afin que ceux ci se pense riche parce qu ils travaillent`pour le conquérant, qui lui empoche les richesses des travailleurs conquis..il y a aussi les journalistes ,dont certains jouent le jeux du conquérant et qui ne s`en aperçoivent même pas…Le PQ essaie de convaincre tous ces bons conquis de se prendre en main et gérer leur richesses pour le bien être de leurs compatriotes, mais la peur est toujours là. La séparation ça ne se vend pas comme une marchandise, ça vient du peuple qui sait vaincre sa peur….j`ai aimé PKP lorsqu`il a dit, « On est capable, on rayonne à la grandeur de la planète, on a des talents qui réussissent partout dans le monde », j`aime mieux me faire dire ça que de me faire dire, on est pas capable….

PKP est un looser et il a lâché , car il savait fort bien que la majorité des québecois n’ ont peur de rien et ils veulent tout simplement avoir la paix !!! Pour la mince minorité au Québec c’ est pas clair et veulent qu’ on est peur ! Peur de quoi ?

Ça fait plus de 50 ans que le PQ nous sert ce même discours usé à la corde et il n’a JAMAIS su convaincre ses concitoyens de la justesse de sa théorie.

Peut-être serait-il temps de passer à autre chose?

Entièrement d’ accord avec vous Mme Hébert ! Il n’ y a pas de solutions miracles et l’ avenir du PQ est incertain ! Manque de leadership assurément ! Et notre PKP qui s’ est dégonflé rapidement après avoir évalué ses chances , il en est arrivé à la conclusion que ce n’ était pas rentable à court, moyen et long terme!