Suggestion de lecture: religion et politique

Je vous suggère un texte paru sur le site de la CBC et portant  sur l’évolution du lien entre religion et politique au Canada. Ira Basen remonte au temps des Ernest Manning, Tommy Douglas et Maurice Duplessis pour en arriver aux conservateurs fédéraux et leur affinité avec les chrétiens évangéliques. Intéressant.

 

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Intéressant comme article Madame Cornellier. On sait pertinemment que ceux qui font de la politique, le font pour deux raisons généralement, pour en retirer un avantage pécunier pour eux ou leur proches ou pour implanter une idéologie. C’est au citoyen de bien se renseigner avant de voter sur l’idéologie véhiculée par le parti de son choix si celui-ci n’est pas membre de ce parti. Car une fois le parti élu il est généralement trop tard, la machine est en marche et l’idéologie sera implanté surtout si aucune opposition valable est présente. Le désengagement des citoyens de la politique laisse le champs libre a ceux qui militent, c’est a dire aux croyants, et souvent la population est trompé durant la campagne électoral avec des promesses qui seront oubliées ou des promesses faites en catimini aux initiés du mouvement. C’est pourquoi le rôle de »chien de garde » exercé par les journalistes est très important dans notre système en autant que le journaliste jouisse d’une liberté a l’intérieur de l’institution pour laquelle il travaille, sans interventions de la direction en faveur d’une idéologie partisane. Le citoyen des années 2000 peu s’informer abondemment a travers tous les média qui existent en plus de consulter l’opinion de ses concitoyens qui émettent leurs commentaires dans ces différents médias.

Commentaire méprisant de Lysianne Gagnon sur Cyberpresse le samedi 16 mars (Hargne et vulgarité):
« Je parle ici non pas du Québec profond, mais du Québec qui placote, tweete, blogue, chronique et discutaille, bref, de la petite classe qui monopolise la parole publique. »
Une chance qu’en générale les journalistes qui possèdent un sens démocratique n’émettent pas de tels opinions de parvenus sur le citoyen qui s’informe et s’exprime.