On connaissait les cumulus, cirrus et compagnie. Voici le volutus, l’asperitas, le fluctus et le flumen, 4 types de nuages sur les 12 que l’Organisation mondiale de la météo (OMM) a ajoutés à sa classification, notamment pour améliorer les prévisions météorologiques. « Pour évaluer la disponibilité des ressources hydriques sur la planète et pour comprendre les systèmes climatiques actuels, il faut bien connaître les nuages », dit Petteri Taalas, secrétaire général de l’organisme.
Par exemple, le flumen, en forme de longue queue à la traîne d’un nuage gris, indique l’imminence d’orages violents. Le volutus (photo ci-haut) — « roulement », en latin — annonce quant à lui de forts vents.
Cet article a été publié dans le numéro de novembre 2017 de L’actualité.
La forme des nuages est-elle ou sera-t-elle un autre signe de la dévastation climatique, un autre bonhomme sept-heure sorti de nulle part, une nouvelle preuve indiscutable de la décrépitude de notre système climatique planétaire ? L’article n’en dit pas assez pour se faire une idée,ou se faire à l’idée. Tout ce que je sais, c’est que la nature est à l’image de l’Homme (avec un grand H pour Humanité): elle sait apprendre de ses souffrances et des attaques portées contre elle et rendre les coups aux coups qui lui sont portés, et ce, avec grandeur et beauté parfois effrayants.
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