
Pour chaque année de travail de plus, le risque chute de 3,2 %, résume Carole Dufouil, chercheuse à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.
Pour éviter de fausser les résultats, son équipe n’a pas tenu compte des personnes qui avaient reçu un diagnostic de démence peu de temps après la retraite, question d’exclure celles qui auraient choisi d’arrêter de travailler parce qu’elles avaient des capacités cognitives déclinantes.
Dire « bye-bye, boss » n’est pas un ticket vers la démence pour autant ! Ce qui compte, disent les scientifiques, c’est de rester actif, tant sur le plan intellectuel que physique et social.
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