
Pour redresser la situation, elle a créé le programme FA-CILITER, en collaboration avec des professionnels de la santé de 14 centres hospitaliers du Québec.
« Actuellement, les patients reçoivent un diagnostic d’un médecin de famille, d’un cardiologue, d’un hématologue ou d’un urgentologue, puis ils sont ballottés d’un service à un autre sans que les soins soient coordonnés », déplore la cardiologue.
Les 4 000 participants au projet-pilote de deux ans auront accès à une infirmière, supervisée par un cardiologue, qui leur transmettra des renseignements sur leur état de santé et leurs traitements.
On estime que 70 000 Québécois souffrent de fibrillationauriculaire.