
Aux États-Unis, depuis deux ans, de 15 à 50 drones ont frôlé des avions commerciaux, ce qui aurait pu avoir des conséquences désastreuses.
De ce côté-ci de la frontière, le ministère des Transports a ouvert quatre enquêtes depuis 2012 sur des incidents liés à des drones près d’un aéroport, dont un tout récent à Vancouver, lorsqu’un de ces appareils a été aperçu volant dans le corridor d’atterrissage des avions.
Afin d’éviter que de tels incidents ne se reproduisent, Transports Canada étudie en ce moment les recommandations émises entre autres par le Centre d’excellence sur les drones, à Alma.
Celles-ci visent à ce que le cadre législatif canadien soit modifié de façon à inclure des dispositions touchant expressément l’utilisation des drones. On songe ainsi à demander aux fabricants de fournir dans les emballages des drones le numéro de téléphone ou l’adresse Internet de Transports Canada, pour que les consommateurs puissent s’informer sur les règles à suivre.
Déjà, les Canadiens qui utilisent un drone de plus de 35 kilos ou un modèle réduit d’aéronef à des fins commerciales doivent d’abord obtenir un certificat d’autorisation auprès de Transports Canada.
« de 15 à 50 drones « … voici le genre d’approximation qui ne serait même pas accepté dans un journal étudiant. Vous avez trop de journalistes en vacances pour vérifier vos chiffres ou quoi?
Selon la FAA, c’est 15; selon la NASA, c’est 50…