
Les auteurs de l’étude, dont les résultats sont parus dans le Journal of Neuroscience, ont testé leur hypothèse chez des souris exposées à un agent stressant — l’eau froide.
« Chez celles qui étaient physiquement actives, les neurones de l’hippocampe ventral arrivaient à désensibiliser cette région du cerveau, impliquée dans l’anxiété », résume Elizabeth Gould, professeure de psychologie qui a dirigé les travaux.
L’équipe espère que la découverte contribuera à soulager les anxieux chroniques.
Effectivement, en tant que militaire, l’entraînement physique est crucial. Ainsi, lorsqu’il y a une journée sans exercice matinal, je sens que je suis moins alerte, moins vif d’esprit.