
Le jeune chercheur a recruté 11 volontaires, qui ont pédalé sur un vélo stationnaire pendant 70 minutes, puis reçu un massage de 10 minutes.
Trois biopsies réalisées avant et après le massage ont permis d’analyser les réactions biochimiques à l’intérieur des muscles.
L’équipe a constaté que le massage mettait en branle les mêmes mécanismes biochimiques qu’un médicament anti-inflammatoire.
La massothérapie, combinée ou non avec d’autres traitements, a sa place pour soulager non seulement les athlètes, mais également les personnes atteintes d’affections chroniques, comme l’arthrite ou la dystrophie musculaire, soutient Justin Crane.