
Les augmentations de rémunération substantielles consenties aux médecins québécois de 2007 à 2011 n’ont pas amélioré l’accès aux soins. Et ce, même si le nombre de médecins par habitant a augmenté de 8 % au Québec au cours de la même période.
C’est, du moins, ce que révèlent des chercheurs de l’Université de Montréal.
Les médecins étant payés plus cher pour chaque acte prodigué, beaucoup auraient choisi de travailler moins d’heures, tout en maintenant un même revenu.