
Cette maladie touche 150 000 Canadiens. Elle provoque le rétrécissement de l’ouverture de la valve qui sert d’interface entre le cœur et l’aorte.
Les chercheurs ont administré à des souris un peptide (molécule qui ressemble à une protéine) imitant l’action du « bon » cholestérol. Le traitement a freiné la progression de la maladie.
Le Dr Tardif espère que cette approche thérapeutique pourra un jour être transposée aux humains et qu’elle permettra de réduire le recours aux opérations à cœur ouvert, nécessaires pour remplacer une valve endommagée.