
« En 2012, Bristol Myers Squibb a été la première société au Canada à lancer un médicament en immuno-oncologie, ces médicaments qui utilisent le système immunitaire du patient pour lutter contre le cancer, avec des résultats sans précédent », raconte Al Reba, directeur général de Bristol Myers Squibb Canada.
Avec l’acquisition de Celgene, BMS est également à l’avant-garde de la recherche en matière de thérapie immunocellulaire CAR (chimeric antigen receptor) T-cell pour traiter certains types de cancers du sang.
« C’est une transformation majeure en matière de traitement puisqu’on prélève les cellules dans le corps du patient, on les reprogramme en laboratoire pour ensuite les retourner dans le corps du patient pour qu’elles puissent s’attaquer au cancer de façon personnalisée, explique Al Reba. En faisant progresser l’immuno-oncologie et des technologies comme CAR T, BMS aide les Canadiens à vivre plus longtemps et plus en santé. »
Bristol Myers Squibb a aussi comme priorité le développement de médicaments dans le domaine des maladies cardiovasculaires et auto-immunes.
Poursuivre les recherches
Pour continuer à garnir son portefeuille de médicaments, BMS se doit de toujours investir en recherche. En 2020, la société a investi près de 9,4 milliards de dollars globalement en recherche et développement en soutenant notamment différents partenaires, dont l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC) de l’Université de Montréal.
BMS possède un robuste programme d’essais cliniques canadien qui comprend 125 études touchant près de 4 000 patients à travers le pays.
« Ces études cliniques permettent aux Canadiens d’avoir accès aux médicaments plus tôt dans le processus en donnant à des patients des options qu’ils ne pourraient peut-être pas avoir autrement », indique M. Reba.
De plus, évaluer des médicaments sur une population aussi diversifiée que celle du Canada permet à BMS de s’assurer de la grande efficacité de ses produits pour avancer vers la commercialisation.
Al Reba voit aussi l’acquisition de Celgene comme une façon d’élargir les perspectives et les approches de BMS.
« En plus de mieux garnir notre portefeuille de médicaments, l’acquisition de Celgene nous permet d’accueillir la culture de cette biotech dans la nôtre, explique-t-il. Nous pouvons donc prendre nos ressources en tant que grande “pharma” et les combiner avec l’agilité et la rapidité de la biotech, ce qui nous place dans une meilleure position pour poursuivre notre mission. »
Pour atteindre ses objectifs, attirer les meilleurs talents est aussi crucial pour BMS Canada, dont le siège social se trouve à Montréal.
« Nous nous efforçons de bâtir une équipe diversifiée et inclusive, précise M. Reba. Nous avons réalisé plus de 50 embauches dans les six derniers mois et nous sommes heureux de voir la qualité du bassin de talents à Montréal. Nous travaillons tous ensemble dans le même but, soit aider les patients à vaincre des maladies graves. Je pense qu’il n’existe pas de meilleure raison d’aller travailler chaque matin. »
Ce contenu a été produit par Mishmash Studio de marques en collaboration avec l’annonceur. Les journalistes de L’actualité n’ont pas été impliqués dans la production de ce contenu.
Je vous félicite pour toutes les découvertes que vous avez faites ces dernières années. Pourtant, vous ne parlez jamais de recherches sur le système osseux, ni, par exemple, sur le lymphoedeme. Ce sont deux secteurs qui, il me semble, seraient prometteurs tant pour la recherche que pour les patients qui ont eux aussi besoin de traitements. Merci pour toutes les découvertes. Les patients doivent être heureux et reconnaissants pour tout cela. Bonne Année 2021, sans COVID.