En gestion de pandémie comme en toute chose, il est facile de souligner les erreurs après les événements. Mieux vaut s’en servir pour tirer des leçons plutôt que pour pointer des coupables.
Les étirements statiques sont souvent considérés comme un sacro-saint pilier de la bonne forme physique, mais certains tirent un peu trop sur l’élastique quand vient le temps d’interpréter les données scientifiques à ce sujet.
N’écoutez pas les oiseaux de malheur : si vous aimez le café, le tolérez bien, vous pouvez en boire de façon modérée sans problème. Sa consommation pourrait même être bénéfique pour votre cœur, vos reins et votre cerveau, notamment.
En parcourant les sites Web qui vendent des produits à base de cannabis, vous lirez probablement que cette drogue soulage les douleurs chroniques, l’arthrite et de nombreuses autres affections. Mais ne vous attendez pas à trouver des preuves cliniques étayant cette affirmation.
La santé est au cœur de nos préoccupations. C’est pourquoi L’actualité diffuse une infolettre qui lui est entièrement consacrée. Inscrivez-vous pour être informé en primeur sur les sujets de l’heure.
Une nouvelle étude jette un regard éclairant sur la façon dont le cerveau humain se métamorphose tout au long de la vie. Quatre étapes marquent son développement et nous permettent de mieux comprendre les maladies qui l’affectent.
Non, les personnes qui ont un surplus de poids ne manquent pas de volonté, dit la Dre Julie St-Pierre, codirectrice du Groupe de travail québécois sur l’obésité. Elles ont plutôt besoin d’information pertinente et de respect.
Il s’en pratique, bon an, mal an, plus de 100 000 par année au Canada, dont le quart au Québec. Divers facteurs, comme l’âge de la mère, peuvent justifier le recours à cette opération, mais dans de nombreux cas, les experts ignorent ce qui motive ce choix.
La pandémie a frappé de façon disproportionnée les communautés les plus vulnérables de la société. L’exemple de la Ville de Toronto, qui a recueilli et analysé des données pour évaluer l’équité de ses stratégies d’aide, pourrait inspirer d’autres administrations.
Le pénis et les testicules ne sont pas toujours épargnés par la COVID-19, c’est vrai, mais un message d’intérêt public provaccin a accordé trop d’importance à une étude assez molle.
Ces jours-ci, de nombreuses personnes ont des symptômes apparentés à ceux de la COVID, mais des résultats négatifs aux tests rapides. Que faut-il en conclure ?
Les personnes en traitement contre le cancer, greffées ou atteintes de maladies auto-immunes demeurent sujettes à des complications graves si elles attrapent la COVID-19. Loin d’être une libération, le déconfinement les isole plus que jamais.
La peur de l’autodestruction a jusqu’à ce jour supplanté le désir d’utiliser l’arme nucléaire. Nous entrons malheureusement dans une nouvelle ère. Souhaitons que la raison l’emporte encore et toujours.