Si les fleurs pouvaient parler

Rose, tulipe ou œillet ? C’est d’abord par leur forme que l’on distingue les fleurs. Or, la morphologie des différentes espèces en dit beaucoup plus long sur elles, et sur leur évolution, dévoilent les travaux d’une étudiante au doctorat de l’Université de Montréal.

sakurra / Getty Images / montage : L’actualité

L’auteure est étudiante au doctorat à l’Institut de recherche en biologie végétale de l’Université de Montréal. Grâce à cette bande dessinée qui résume ses travaux sur la relation entre la forme des fleurs et la pollinisation, elle s’est vu décerner une mention coup de pouce / coup de cœur lors de la remise de prix de la 30e édition du Concours de vulgarisation de la recherche de l’Acfas, le 11 mai 2023.

Si les scientifiques étudient surtout les fleurs à plat, c’est parce qu’elles sont trop fragiles pour être conservées en trois dimensions. Or, la complexité de ces structures nécessite une analyse sous toutes leurs facettes. Pour la doctorante Marion Leménager, une reconstruction en 3D est possible grâce à la photogrammétrie. Elle explique, dans une bande dessinée, les avantages de ce processus.

D’autres découvertes étonnantes

Découvrez les autres œuvres récompensées dans le cadre de la 30e édition du Concours de vulgarisation de la recherche de l’Acfas :

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