
Son équipe a prélevé quelques cellules de la peau de centenaires et y a ajouté un cocktail de six gènes connus pour être très actifs aux premiers stades de la vie. Les cellules sont retournées à leur état embryonnaire. Les applications sont encore lointaines, mais le chercheur espère que sa découverte servira un jour à la médecine régénérative, pour donner un second souffle aux cœurs de victimes d’infarctus, par exemple.