
Encore davantage que l’ours polaire, qui fait pourtant plus souvent les manchettes.
Parmi les principales menaces répertoriées par une équipe internationale de scientifiques : l’arrivée possible de nouveaux prédateurs – les épaulards – dans un océan libre de glace de plus en plus longtemps chaque été.
Le narval est aussi très prisé par les chasseurs inuits : la longue défense torsadée que portent les mâles, et qui mesure jusqu’à deux mètres de longueur, peut valoir plus de 1 000 dollars. Les Inuits en abattent environ 500 chaque année.